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Art et Culture
26/05/2008 - 12:25

Les quatre New-yorkaises de 'Sex and the City' perdent un peu de mordant, pas de leur glamour


"Sex and the City", série télévisée culte montrant pour la première fois des femmes parler cash de sexualité, fait son cinéma dans le respect du style qui a fait son succès. Les hommes, le sexe et l'amitié restent au coeur de l'intrigue du film, où l'on retrouve les quatre New-yorkaises chics et choc, quatre ans après la dernière saison. Désormais casées et proches de la quarantaine, elles s'apprêtent à vivre l'heureux événement auquel elles ne croyaient plus: le mariage de Carrie avec son grand amour, "Big". Et apprennent au passage que la vie à deux n'est pas forcément idyllique.



Doyenne de la bande, Samantha (Kim Cattrall), reine des relations publiques sur la Grosse pomme et nymphomane assumée, a fini, à bientôt 50 ans, par relever le défi de la monogamie, acceptant même de s'exiler à "Lost Angeles" -sic- pour se consacrer à la carrière de son compagnon. Mais entre deux bols d'air pur et cours de sushis, la blonde au sang chaud se languit de son ancienne vie.

Miranda (Cynthia Nixon), brillante avocate à l'esprit caustique, s'épuise pour sa part dans les allées et venues imposées par son statut de mère qui travaille, au point de négliger son mari et de s'en voir brutalement imposer les conséquences.

A l'inverse, Charlotte (Kristin Davis) vit un rêve de félicité domestique entre son mari, et Lily, la fillette chinoise qu'ils ont adoptée, jusqu'à ce que l'annonce d'une grossesse inespérée vienne bouleverser son équilibre.

Quant à Carrie (Sarah Jessica Parker), elle mène enfin une relation stable avec John. Les tourtereaux s'apprêtent non seulement à emménager dans un magnifique appartement de la 5e avenue, mais également à franchir le grand pas: à 40 ans, Miss Bradshaw, l'icône des célibataires de New York, auteure d'une chronique explosive sur l'amour et le sexe, se fait passer la bague au doigt. Ou presque.

Rassurons les fans: le film reste fidèle à la série, tout en étant accessible aux néophytes. Mêmes acteurs, même dialogues salés et une esthétique "girlie" assumée. Les fondamentaux sont toujours là: les déj' entre copines, des tenues griffées à profusion, et beaucoup de cris perçants, les décibels augmentant par ordre d'importance: 1) l'annonce d'un mariage 2) l'arrivée surprise d'une copine 3) la vue d'un sac Vuitton. Tant et si bien que les initiés peuvent avoir l'impression de regarder une saison 7 fictive et condensée (2h30, quand même).

Le format "long métrage" impose néanmoins à la narration un rythme plus lent, et la réalisation de Michael Patrick King, également scénariste du film et de la série, gagne en qualité, avec l'exploitation bienvenue des sites pittoresques de New York. Le casting s'enrichit en outre d'un nouveau personnage: Louise, l'assistante de Carrie, interprétée par Jennifer Hudson (Oscar de second rôle pour "Dreamgirls"). Si elle n'a pas la silhouette élancée des quatre inamovibles et affiche 15 ans de moins au compteur, "Louise de St-Louis" partage les mêmes espoirs et leurs interrogations sur les hommes. Lesquelles ont toutefois sensiblement évolué - maturité oblige.

Ces dames ayant en effet enfin trouvé l'âme soeur, leurs piques sur les mots -et les maux- des hommes qu'engendraient leurs multiples aventures amoureuses se font plus rares. Un tantinet plus "Love and the City", donc, que la série aux multiples récompenses (sept Emmy Awards sur 50 nominations en six ans), "Sex and the City - Le film" n'est heureusement pas allé jusqu'à sacrifier l'humour, sa marque de fabrique, sur l'autel du romantisme, ni censurer l'indéfectible Samantha, sur laquelle on peut compter pour relever la sauce: "On se fait baiser par les mecs gentils, on se fait baiser par les salauds, et tous les autres ne savent même pas comment nous baiser correctement".

Source: news.yahoo.com

Y.K/sourcesWeb










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