"Cela devient un sujet d'extrême préoccupation pour nous et nous allons assumer une position plus radicale pour nous assurer qu'un accord sera trouvé", a déclaré le porte-parole du gouvernement sud-africain, Themba Maseko.
Ces déclarations marquent un changement de ton de la part de l'Afrique du Sud, dont l'ancien président Thabo Mbeki, médiateur dans le processus, a été critiqué pour son approche modérée jugée inefficace.
Un nouveau sommet régional est programmé dimanche pour tenter de débloquer la crise au Zimbabwe, où la Zanu-PF du président Mugabe, le Mouvement pour le changement démocratique (MDC) de l'opposant Morgan Tsvangirai et une faction dissidente du MDC ne parviennent pas à s'entendre sur la composition d'un gouvernement d'unité nationale.
"Nous sommes convaincus que l'Afrique du Sud et la région n'ont pas à être prises en otage par trois partis politiques incapables de trouver un accord sur la répartition des postes ministériels", a encore souligné Themba Maseko.
La constitution d'un gouvernement d'union nationale est considérée comme une étape indispensable pour affronter les graves difficultés économiques du pays, où le taux d'inflation atteignait en juillet 231 millions de pour cent.
Les Zimbabwéens luttent pour survivre face à des pénuries chroniques de viande, de lait ou d'autres denrées.
La lutte de pouvoir s'est exacerbée ces derniers mois dans le pays avec l'élection présidentielle, dont le premier tour a été remporté par Tsvangirai. Mais en raison de violences visant ses partisans, ce dernier n'a pas participé au second tour en juin, remporté par Mugabe.
Morgan Tsvangirai a quitté mercredi le Zimbabwe pour une tournée dans les pays voisins afin de préparer le sommet de dimanche, a indiqué le MDC.
Source: Yahoo News
Ces déclarations marquent un changement de ton de la part de l'Afrique du Sud, dont l'ancien président Thabo Mbeki, médiateur dans le processus, a été critiqué pour son approche modérée jugée inefficace.
Un nouveau sommet régional est programmé dimanche pour tenter de débloquer la crise au Zimbabwe, où la Zanu-PF du président Mugabe, le Mouvement pour le changement démocratique (MDC) de l'opposant Morgan Tsvangirai et une faction dissidente du MDC ne parviennent pas à s'entendre sur la composition d'un gouvernement d'unité nationale.
"Nous sommes convaincus que l'Afrique du Sud et la région n'ont pas à être prises en otage par trois partis politiques incapables de trouver un accord sur la répartition des postes ministériels", a encore souligné Themba Maseko.
La constitution d'un gouvernement d'union nationale est considérée comme une étape indispensable pour affronter les graves difficultés économiques du pays, où le taux d'inflation atteignait en juillet 231 millions de pour cent.
Les Zimbabwéens luttent pour survivre face à des pénuries chroniques de viande, de lait ou d'autres denrées.
La lutte de pouvoir s'est exacerbée ces derniers mois dans le pays avec l'élection présidentielle, dont le premier tour a été remporté par Tsvangirai. Mais en raison de violences visant ses partisans, ce dernier n'a pas participé au second tour en juin, remporté par Mugabe.
Morgan Tsvangirai a quitté mercredi le Zimbabwe pour une tournée dans les pays voisins afin de préparer le sommet de dimanche, a indiqué le MDC.
Source: Yahoo News