Le cargo BBC Trinidad battant pavillon de Antigua et de la Barbade, qui faisait route de l'Europe vers l'Asie, et le tanker japonais Irene avaient été saisis le 21 août, a déclaré Andrew Mwangura de la branche kenyane du Programme d'assistance aux marins.
"Nous avons pu confirmer que les pirates avaient libéré les (équipages des) deux navires", a affirmé M. Mwangura depuis la ville côtière de Mombasa (est).
Le cargo était retenu dans le village de pêcheurs d'Ely (nord-est de la Somalie) avec un équipage de 13 membres (le capitaine slovène, 10 marins philippins et deux Russes).
"Les pirates avaient demandé une rançon mais je ne sais pas si elle a été payée", a ajouté M. Mwangura.
Simultanément, seize Philippins et trois Croates qui étaient à bord du tanker ont été libérés dans le même village, un jour après l'arrivée à Nairobi d'une délégation de négociateurs japonais.
"Nous avons reçu des informations selon lesquelles ils étaient venus avec une rançon et organisaient le paiement", a ajouté M. Mwangura. Des sources proches des pirates ont évoqué une rançon de 1,5 million de dollars, mais l'information n'a pu être vérifiée.
Les pirates somaliens retiennent encore plusieurs navires et leurs équipages au large des côtes somaliennes. Les experts estiment en outre que de nombreuses attaques de ce type ne sont jamais rapportées.
La Somalie, pays pauvre de la Corne de l'Afrique ravagé par la guerre civile et sans gouvernement central depuis 1991, est devenu le point chaud de la piraterie planétaire ces derniers mois.
Le Conseil de sécurité de l'ONU avait adopté le 2 juin une résolution permettant l'entrée de navires de guerre dans les eaux territoriales somaliennes pour traquer des pirates.
"Nous avons pu confirmer que les pirates avaient libéré les (équipages des) deux navires", a affirmé M. Mwangura depuis la ville côtière de Mombasa (est).
Le cargo était retenu dans le village de pêcheurs d'Ely (nord-est de la Somalie) avec un équipage de 13 membres (le capitaine slovène, 10 marins philippins et deux Russes).
"Les pirates avaient demandé une rançon mais je ne sais pas si elle a été payée", a ajouté M. Mwangura.
Simultanément, seize Philippins et trois Croates qui étaient à bord du tanker ont été libérés dans le même village, un jour après l'arrivée à Nairobi d'une délégation de négociateurs japonais.
"Nous avons reçu des informations selon lesquelles ils étaient venus avec une rançon et organisaient le paiement", a ajouté M. Mwangura. Des sources proches des pirates ont évoqué une rançon de 1,5 million de dollars, mais l'information n'a pu être vérifiée.
Les pirates somaliens retiennent encore plusieurs navires et leurs équipages au large des côtes somaliennes. Les experts estiment en outre que de nombreuses attaques de ce type ne sont jamais rapportées.
La Somalie, pays pauvre de la Corne de l'Afrique ravagé par la guerre civile et sans gouvernement central depuis 1991, est devenu le point chaud de la piraterie planétaire ces derniers mois.
Le Conseil de sécurité de l'ONU avait adopté le 2 juin une résolution permettant l'entrée de navires de guerre dans les eaux territoriales somaliennes pour traquer des pirates.