Articulé autour d'un 4-2-3-1 en 1ere période, l'OM n'avait jamais été en mesure, alors, d'inquiéter Saint-Étienne. Il est vrai que le rendement de Kanga Akalé et surtout de Karim Ziani dans leur couloir respectif ne l'avait pas aidé à accélérer le jeu ni à prendre l'arrière-garde adverse à revers. Éric Gerets avait fait appel au premier nommé afin de pallier l'absence de Mamadou Niang, blessé.
Quant à la titularisation de Ziani, elle s'inscrivait dans une indispensable rotation d'effectif compte tenu des nombreuses échéances à venir. De fait, Valbuena avait été ménagé, prenant place sur le banc.
Le Girondin n'y sera donc resté assis qu'une mi-temps. Les 45 premières minutes d'un OM prévisible et sans ressort allaient conduire Gerets à modifier ses plans. Conséquences : Ziani et Akalé retrouvaient le bord de touche; Kaboré et Valbuena entraient en jeu.
L'OM changeait également de système, le dernier nommé venant graviter autour de Cissé. Nasri, lui, allait recevoir le soutien de Cheyrou dans un entrejeu densifié avec l'arrivée de Kaboré. Cette restructuration eut le mérite non seulement d'influer sur l'animation offensive, mais aussi d'offrir une assise plus solide à une équipe olympienne qui avait reçu des vagues stéphanoises en pleine figure en 1ere mi-temps.
Kaboré stabilise
En cela, l'entrée de Charles Kaboré fut particulièrement précieuse. Au côté de M'Bami, il s'est vite adapté à la situation, arrachant une flopée de ballons dans les pieds adverses. On l'aura vu aussi apporter son soutien sur des phases offensives, n'hésitant pas à venir en surnombre ou à distiller quelques relances toujours nettes dans l'ensemble. Le jeune Burkinabé est décidément une vraie trouvaille.
Zubar-Cana, un attelage perfectible
Si Faty, sorti prématurément devant le Zénith en raison de douleurs articulaires à la hanche, figurait finalement dans le groupe hier, celui-ci était cependant encore un peu juste pour être titularisé. Dès lors, Éric Gerets, privé de Givet (suspendu) et Rodriguez (blessé), a reconduit dans l'axe Zubar qui avait suppléé Faty en coupe UEFA.
L'ancien Caennais était ainsi associé à Cana, de retour de suspension. Un attelage inédit qui n'a pas toujours dégagé la plus grande des sérénités en 1r e période. À ce moment-là, Zubar, qui n'avait plus été titularisé en L1 depuis la trêve hivernale, a souvent donné l'impression de chercher constamment à se situer par rapport à son capitaine. Mais il se sera montré plus tranchant par la suite. Comme l'OM.
laprovence.com
Quant à la titularisation de Ziani, elle s'inscrivait dans une indispensable rotation d'effectif compte tenu des nombreuses échéances à venir. De fait, Valbuena avait été ménagé, prenant place sur le banc.
Le Girondin n'y sera donc resté assis qu'une mi-temps. Les 45 premières minutes d'un OM prévisible et sans ressort allaient conduire Gerets à modifier ses plans. Conséquences : Ziani et Akalé retrouvaient le bord de touche; Kaboré et Valbuena entraient en jeu.
L'OM changeait également de système, le dernier nommé venant graviter autour de Cissé. Nasri, lui, allait recevoir le soutien de Cheyrou dans un entrejeu densifié avec l'arrivée de Kaboré. Cette restructuration eut le mérite non seulement d'influer sur l'animation offensive, mais aussi d'offrir une assise plus solide à une équipe olympienne qui avait reçu des vagues stéphanoises en pleine figure en 1ere mi-temps.
Kaboré stabilise
En cela, l'entrée de Charles Kaboré fut particulièrement précieuse. Au côté de M'Bami, il s'est vite adapté à la situation, arrachant une flopée de ballons dans les pieds adverses. On l'aura vu aussi apporter son soutien sur des phases offensives, n'hésitant pas à venir en surnombre ou à distiller quelques relances toujours nettes dans l'ensemble. Le jeune Burkinabé est décidément une vraie trouvaille.
Zubar-Cana, un attelage perfectible
Si Faty, sorti prématurément devant le Zénith en raison de douleurs articulaires à la hanche, figurait finalement dans le groupe hier, celui-ci était cependant encore un peu juste pour être titularisé. Dès lors, Éric Gerets, privé de Givet (suspendu) et Rodriguez (blessé), a reconduit dans l'axe Zubar qui avait suppléé Faty en coupe UEFA.
L'ancien Caennais était ainsi associé à Cana, de retour de suspension. Un attelage inédit qui n'a pas toujours dégagé la plus grande des sérénités en 1r e période. À ce moment-là, Zubar, qui n'avait plus été titularisé en L1 depuis la trêve hivernale, a souvent donné l'impression de chercher constamment à se situer par rapport à son capitaine. Mais il se sera montré plus tranchant par la suite. Comme l'OM.
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