La crise générale du capitalisme a duré pendant des siècles. Les contradictions systémiques inhérentes au capitalisme, s'expriment sous nos yeux. Au premier rang de celles ci est la contradiction entre production sociale et l'appropriation privée. L’accélération la concentration du capital aux États-Unis et dans d'autres centres impérialistes est issue du pillage des richesses du monde.

Nous avons la confirmation que cette voie de développement capitaliste est une impasse et elle est a apporté la crise financière aiguë avec lequel l'Occident se bat sans succès depuis plus de cinq ans. Les méthodes monétaristes n'ont pas réussies. La crise a touché tous les éléments du système: la production, la finance, la politique, la culture, la morale. Elle se manifeste clairement dans la sphère idéologique et de l'économie. L'incapacité du capitalisme à résoudre ses contradictions inhérentes est évidente.

Ce qui se passe dans les différentes parties du monde confirme l'exactitude de l'analyse marxiste-léniniste. Le taux de profit a tendance à baisser, le capitalisme, en prises avec tout cela renforce l'exploitation des travailleurs, la spéculation financière, et les aventures militaires.

La classe dirigeante déploie ses attaques contre les droits économiques, sociaux et politiques du peuple. Elle mène à une polarisation croissante de la société. Elle immerger les garanties sociales que les travailleurs occidentaux ont gagné grâce à l'exemple de l'Union soviétique. Elle mène une politique de réduction des salaires et des pensions. Augmente l'âge de la retraite. Détruit la protection sociale, la santé et l'éducation. Il y a partout une augmentation de la pauvreté, le retour de la faim, de la mortalité infantile. Tels sont les fruits du système économique, visant le but lucratif. Il y a une aggravation extrêmement dangereuse des liens entre le progrès rapide de la science et de la technologie et de la régression sociale.

La décadence du capitalisme est évidente aussi sur la situation sur la scène mondiale. L'agressivité croissante de l'impérialisme est une menace croissante pour l'humanité. La militarisation des relations internationales est importante. Les victimes des politiques mondialistes sont la Yougoslavie, l'Irak, l'Afghanistan, la Libye et la Syrie.

La principale source d'alimentation des conflits au sein des pays vient de l'extérieur. La formation de l'instabilité mondiale est le choix de ceux qui cherchent à imposer des scénarii néo-coloniaux. Il y a une menace croissante de guerre mondiale. Les conditions de son apparition viennent de trois groupes de contradictions entre les pays économiquement développés, entre le noyau et la périphérie impérialiste du monde, entre les aspirations du capital financier mondiale et les intérêts nationaux du pays, notamment des pays développés.

La classe dirigeante des grandes puissances a montré son incapacité à résoudre les problèmes engendrés par la crise. Partout on assiste à la montée d'un mouvement de protestation des travailleurs, des masses, ils sont de plus en plus nombreux a agir pour protéger leurs intérêts. Dans ces conditions, les forces de la réaction ont eu recours à la police d'État purement et simplement pour les réprimer et développer des politiques anti-communisme. Dans un certain nombre de pays «civilisés» les symboles communistes sont interdit. L'utilisation des symboles traditionnels du mouvement ouvrier - le marteau et la faucille - est une cause de poursuites judiciaires.

Pour continuer la guerre contre l'histoire soviétique, l'histoire du mouvement communiste. Le monde a vu la ténacité avec laquelle l'APCE, l'OSCE et le Parlement européen ont honteusement tenté d'assimiler le nazisme au communisme. Dans les rues des villes de la Baltique ont a vu des hommes, des anciens SS défiler.

L'anti-communisme a encouragé les mouvements réactionnaires ouvertement fascistes, nationalistes et autres. L'impérialisme aide assombrir la conscience nationale, érodant l'orientation sociale des classes. L'anti-communisme a stimulé la croissance des organisations d'extrême droite, il porte une partie de la population sur la mauvaise voie.

La Russie n'est pas un îlot de stabilité dans la mer orageuse de la crise. L'économie du pays a été fermement intégrées dans le système du capitalisme mondial notamment les matières premières. Par conséquent, les coups de la crise en Russie étaient parmi les plus puissants. Ici, comme ailleurs dans le monde, les grandes entreprises et de les sous-fifres politiques, ont attaqué les droits sociaux et mène des politiques de «lavage de cerveau».

Le Parti communiste et ses partisans vivent et travaillent dans un environnement où l'anti-communisme est effectivement élevé au rang de politique d'Etat. Le public est exposé à la propagande gouvernementale, en tentant de dissiper sous l'influence des «charmes de la vie» dans un marché «libre» les réalités sociales du communisme et du soviétisme.

Le XVème Congrès du Parti communiste a déclaré que la détérioration de la crise générale du capitalisme exige une transition vers une nouvelle organisation de la société. Dans le monde il faut déployer la lutte intrinsèquement révolutionnaire pour le socialisme. Dans ces circonstances, nous exprimons notre solidarité et notre soutien à tous ceux qui font l'objet de persécutions et de harcèlement pour nos idéaux communs. Nous disons unis : «NON» à toutes les manifestations anti-communiste.

Le capitalisme est condamné ! Pour sortir de la crise il faut le SOCIALISME !