Les personnes surprises à écouter du rap ou du funk - dont les pulsations et les paroles suggestives sont populaires dans les favelas de Rio de Janeiro - devront cesser sous peine d'être arrêtées et d'encourir jusqu'à six mois de prison, a-t-il dit selon des médias.
José Neto, maire de Sao Lourenço, dans l'Etat du Minas Gerais, dans le sud-est du Brésil, a précisé à la télévision Globo qu'il interdisait les chansons susceptibles d'inciter à la violence et à l'irrespect envers l'autorité, au profit de musiques de carnaval traditionnelles comme la samba.
La musique funk est considérée avec méfiance par la police et les autorités municipales de Rio, qui s'emploient à "l'encadrer" en raison de ses liens avec des gangs des favelas profitant des soirées où on la joue pour vendre de la drogue.
Cette forme de musique, née à la fin des années 1960 dans les ghettos afro-américains, a cependant rencontré un public de plus en plus large au Brésil, comme en Europe.
Source: Reuters via Yahoo News
José Neto, maire de Sao Lourenço, dans l'Etat du Minas Gerais, dans le sud-est du Brésil, a précisé à la télévision Globo qu'il interdisait les chansons susceptibles d'inciter à la violence et à l'irrespect envers l'autorité, au profit de musiques de carnaval traditionnelles comme la samba.
La musique funk est considérée avec méfiance par la police et les autorités municipales de Rio, qui s'emploient à "l'encadrer" en raison de ses liens avec des gangs des favelas profitant des soirées où on la joue pour vendre de la drogue.
Cette forme de musique, née à la fin des années 1960 dans les ghettos afro-américains, a cependant rencontré un public de plus en plus large au Brésil, comme en Europe.
Source: Reuters via Yahoo News