À quel point les soft skills sont-elles importantes pour l’entreprise ?
Quelles sont les compétences définies comme soft skills ?
Pour réaliser convenablement et efficacement les tâches liées à un poste, quel qu’il soit, il faut avoir les compétences techniques, dites hard skills. Cependant, les compétences humaines ou savoirs comportementaux, appelés soft skills, sont tout aussi importantes, à savoir :
Les compétences techniques ne suffisent pas pour mener à bien les missions, car il faut savoir collaborer et vivre avec les collègues, partenaires, etc., et réagir convenablement selon la situation qui se présente au travail. 99 % des recruteurs sont intransigeants concernant les soft skills des candidats selon l’étude « le recrutement en 2017 » réalisée par RégionsJob. C’est dire l’importance des savoirs comportementaux dans la performance d’une entreprise.
Il n’est plus à prouver que la communication est essentielle au bon fonctionnement de l’entreprise. Or, il faut une forte intelligence émotionnelle pour être bon communicant. Celui qui possède cette aptitude comportementale sait travailler en équipe, exprimer clairement des objectifs, prendre le rôle de leader quand il le faut ou rester en retrait.
L’optimisme permet de toujours voir le côté positif d’une situation (même si celle-ci est catastrophique), d’encourager les autres et de persister quand il le faut pour trouver une solution. Cette qualité, liée à une forte capacité à gérer le stress, peut s’avérer vitale pour une entreprise. La diplomatie, le respect et le self-control sont primordiaux dans le monde professionnel lorsqu’il est nécessaire de dominer sa frustration.
La créativité ne s’apprend pas alors que c’est grâce à elle qu’on trouve les nouvelles idées, les bonnes idées, les solutions à une situation qui semble être sans issue. L’adaptabilité par contre est une habileté qui peut s’apprendre au fil du vécu. Elle est essentielle lorsque l’employé doit vivre des changements ou des évolutions importantes dans son travail.
L’intelligence émotionnelle est une qualité qu’il faut absolument avoir pour une collaboration réussite dans le milieu du travail, particulièrement lorsque cela implique le multiculturalisme. Pour obtenir le meilleur des autres, s’adapter à leurs valeurs, à leurs cultures, aux codes de conduites qui leur sont propres est très important.
Cela implique de l’ouverture d’esprit, de la patience, de l’écoute et de la confiance en soi. On peut alors facilement se coordonner avec les autres et réussir un travail d’équipe ou une relation avec les partenaires étrangers par exemple. Dans le cas d’une négociation, l’aisance relationnelle et l’argumentation, ajoutées aux compétences citées précédemment font toute la différence.
La capacité à résoudre un problème est un atout que l’on exige d’un employé : améliorer une situation, prendre une décision qui convient à toutes les parties, etc. Certains problèmes sont « complexes » selon le World Economic forum lorsque dans un futur proche, la technologie sera incontournable dans la réalisation des tâches.
Dans ce contexte de domination des nouvelles technologies, de nouveaux défis nécessitant un bon jugement et une bonne prise de décision apparaissent, notamment le choix d’informations utiles à la veille stratégique de l’entreprise. Face à ces changements (technologiques ou autres), la flexibilité cognitive est essentielle pour rester efficace.
Avoir une pensée critique est une compétence valorisée dans l’entreprise de demain, car tous les secteurs d’activités sont en perpétuelle évolution. Les choses bougent beaucoup et les tendances changent constamment. Il faut constamment s’améliorer et s’adapter. Pour aller encore plus loin et devancer la concurrence, la créativité est exigée pour innover.
Une bonne gestion du temps peut s’avérer difficile lorsqu’on est toujours pressé et qu’on croule sous le travail. Savoir gérer son emploi du temps, éviter les éléments qui font perdre du temps, organiser les tâches est tout un art qui s’apprend. Cette bonne organisation peut toutefois être chamboulée si l’on ne sait pas également gérer le stress. Cela peut influer sur les prises de décisions, la créativité et la confiance en soi.
Pour identifier les employés qui ont les meilleures soft skills, il suffit d’évaluer leur performance et de demander les avis de leurs collègues. Lorsque les meilleurs éléments de l’entreprise sont identifiés, il convient de les reconnaître, les féliciter, les encourager et les récompenser.
Dans le cas d’une embauche, les recruteurs analysent le parcours du candidat et effectuent une enquête auprès des références de celui-ci. Le candidat est également interrogé sur les compétences dont il a usé pour réussir ses anciennes missions. Certaines entreprises n’hésitent pas à faire passer un test de personnalité ou un test psychotechnique.
Les chefs et superviseurs doivent toujours chercher un moyen d’animer l’équipe pour éviter la routine. Les tâches devraient être variées et les responsabilités parfois augmentées. Il s’agit de donner à un collaborateur l’opportunité de prendre la parole en public, de prendre une décision par lui-même, etc. Le but est de développer sa confiance en soi et de faire ressortir ses compétences humaines. La reconnaissance pour un travail bien fait, l’encouragement et la récompense sont également très importants.
Il est également recommandé de faire appel à un coach ou un formateur. L’apprentissage de l’art dramatique est par exemple une façon originale d’améliorer les compétences verbales, non verbales et paraverbales (usage de la voix) des employés en vue d’optimiser leurs performances en négociation, en vente, etc. Chacun est libre de lire des ouvrages sur le leadership et le développement personnel pour améliorer ses soft skills.
- la capacité à collaborer
- la capacité à négocier
- la capacité d’organisation
- la réactivité
- le bon sens
- l’optimisme
- l’adaptabilité
- l’empathie
- les bonnes manières
- le respect d’autrui
- l’esprit critique,
- etc.
Les compétences techniques ne suffisent pas pour mener à bien les missions, car il faut savoir collaborer et vivre avec les collègues, partenaires, etc., et réagir convenablement selon la situation qui se présente au travail. 99 % des recruteurs sont intransigeants concernant les soft skills des candidats selon l’étude « le recrutement en 2017 » réalisée par RégionsJob. C’est dire l’importance des savoirs comportementaux dans la performance d’une entreprise.
Les soft skills pour améliorer la performance et la productivité de l’entreprise
Il n’est plus à prouver que la communication est essentielle au bon fonctionnement de l’entreprise. Or, il faut une forte intelligence émotionnelle pour être bon communicant. Celui qui possède cette aptitude comportementale sait travailler en équipe, exprimer clairement des objectifs, prendre le rôle de leader quand il le faut ou rester en retrait.
L’optimisme permet de toujours voir le côté positif d’une situation (même si celle-ci est catastrophique), d’encourager les autres et de persister quand il le faut pour trouver une solution. Cette qualité, liée à une forte capacité à gérer le stress, peut s’avérer vitale pour une entreprise. La diplomatie, le respect et le self-control sont primordiaux dans le monde professionnel lorsqu’il est nécessaire de dominer sa frustration.
La créativité ne s’apprend pas alors que c’est grâce à elle qu’on trouve les nouvelles idées, les bonnes idées, les solutions à une situation qui semble être sans issue. L’adaptabilité par contre est une habileté qui peut s’apprendre au fil du vécu. Elle est essentielle lorsque l’employé doit vivre des changements ou des évolutions importantes dans son travail.
Quels sont les softs skills les plus essentielles à l’entreprise ?
Intelligence émotionnelle, coordination avec les autres et négociation
L’intelligence émotionnelle est une qualité qu’il faut absolument avoir pour une collaboration réussite dans le milieu du travail, particulièrement lorsque cela implique le multiculturalisme. Pour obtenir le meilleur des autres, s’adapter à leurs valeurs, à leurs cultures, aux codes de conduites qui leur sont propres est très important.
Cela implique de l’ouverture d’esprit, de la patience, de l’écoute et de la confiance en soi. On peut alors facilement se coordonner avec les autres et réussir un travail d’équipe ou une relation avec les partenaires étrangers par exemple. Dans le cas d’une négociation, l’aisance relationnelle et l’argumentation, ajoutées aux compétences citées précédemment font toute la différence.
Résolution de problème, jugement et prise de décision, flexibilité cognitive
La capacité à résoudre un problème est un atout que l’on exige d’un employé : améliorer une situation, prendre une décision qui convient à toutes les parties, etc. Certains problèmes sont « complexes » selon le World Economic forum lorsque dans un futur proche, la technologie sera incontournable dans la réalisation des tâches.
Dans ce contexte de domination des nouvelles technologies, de nouveaux défis nécessitant un bon jugement et une bonne prise de décision apparaissent, notamment le choix d’informations utiles à la veille stratégique de l’entreprise. Face à ces changements (technologiques ou autres), la flexibilité cognitive est essentielle pour rester efficace.
Pensée critique et créativité
Avoir une pensée critique est une compétence valorisée dans l’entreprise de demain, car tous les secteurs d’activités sont en perpétuelle évolution. Les choses bougent beaucoup et les tendances changent constamment. Il faut constamment s’améliorer et s’adapter. Pour aller encore plus loin et devancer la concurrence, la créativité est exigée pour innover.
Gestion du temps et gestion du stress
Une bonne gestion du temps peut s’avérer difficile lorsqu’on est toujours pressé et qu’on croule sous le travail. Savoir gérer son emploi du temps, éviter les éléments qui font perdre du temps, organiser les tâches est tout un art qui s’apprend. Cette bonne organisation peut toutefois être chamboulée si l’on ne sait pas également gérer le stress. Cela peut influer sur les prises de décisions, la créativité et la confiance en soi.
Comment mettre en valeur les softs skills des employés ?
Identifier ceux qui ont les meilleures softs skills
Pour identifier les employés qui ont les meilleures soft skills, il suffit d’évaluer leur performance et de demander les avis de leurs collègues. Lorsque les meilleurs éléments de l’entreprise sont identifiés, il convient de les reconnaître, les féliciter, les encourager et les récompenser.
Dans le cas d’une embauche, les recruteurs analysent le parcours du candidat et effectuent une enquête auprès des références de celui-ci. Le candidat est également interrogé sur les compétences dont il a usé pour réussir ses anciennes missions. Certaines entreprises n’hésitent pas à faire passer un test de personnalité ou un test psychotechnique.
Faire émerger et améliorer les soft skills
Les chefs et superviseurs doivent toujours chercher un moyen d’animer l’équipe pour éviter la routine. Les tâches devraient être variées et les responsabilités parfois augmentées. Il s’agit de donner à un collaborateur l’opportunité de prendre la parole en public, de prendre une décision par lui-même, etc. Le but est de développer sa confiance en soi et de faire ressortir ses compétences humaines. La reconnaissance pour un travail bien fait, l’encouragement et la récompense sont également très importants.
Il est également recommandé de faire appel à un coach ou un formateur. L’apprentissage de l’art dramatique est par exemple une façon originale d’améliorer les compétences verbales, non verbales et paraverbales (usage de la voix) des employés en vue d’optimiser leurs performances en négociation, en vente, etc. Chacun est libre de lire des ouvrages sur le leadership et le développement personnel pour améliorer ses soft skills.
