Citigroup,poursuivant sa dégringolade boursière, est tombée vendredi à son plusbas niveau depuis fin 1998. La première banque américaine souffrant àla fois de la crise du crédit, des anticipations de récession auxEtats-Unis et des modalités d'acquisition de son affilié japonais.
Enfin de séance à la Bourse de New York, Citigroup perdait près de 2% à24,45 dollars après avoir un moment touché 23,92 dollars, son plus basniveau depuis décembre 1998 quand l'action se traitait à l'équivalentde 22,75 dollars. Il y a un an, Citigroup se traitait à 54,39 dollars.
Citigroupest boudée par les investisseurs face à la montée des pertes liées ausubprime, à la détérioration de l'activité dans le crédit à laconsommation et à la mise à mal de ses fonds propres.
Citigroup a perduprès de 10 milliards de dollars sur le seul quatrième trimestre. Sesproblèmes ont contraint à la démission son ancien patron Charles Princele 4 novembre.
Confrontée à la chute de son cours de Bourse, labanque américaine a été contrainte d'offrir plus de papier pour son OPEsur sa filiale japonaise de courtage actions Nikko Cordial.
Enfin de séance à la Bourse de New York, Citigroup perdait près de 2% à24,45 dollars après avoir un moment touché 23,92 dollars, son plus basniveau depuis décembre 1998 quand l'action se traitait à l'équivalentde 22,75 dollars. Il y a un an, Citigroup se traitait à 54,39 dollars.
Citigroupest boudée par les investisseurs face à la montée des pertes liées ausubprime, à la détérioration de l'activité dans le crédit à laconsommation et à la mise à mal de ses fonds propres.
Citigroup a perduprès de 10 milliards de dollars sur le seul quatrième trimestre. Sesproblèmes ont contraint à la démission son ancien patron Charles Princele 4 novembre.
Confrontée à la chute de son cours de Bourse, labanque américaine a été contrainte d'offrir plus de papier pour son OPEsur sa filiale japonaise de courtage actions Nikko Cordial.
Accueil
Envoyer à un ami
Version imprimable
Le gène de la paresse
