Dans le centre de Tbilissi, la capitale, le déploiement de policiers antiémeutes est concentré aux abords du parlement, épicentre la veille d'une répression assez dure. Les policiers, en tenue camouflage, continuent de filtrer l'accès aux grandes avenues, tandis que des agents de la municipalité achèvent de faire disparaître les traces des échauffourées de la veille.
Dans les petits magasins de la ville, les vendeuses ont zappé sur la seule chaîne d'Etat qui diffuse des informations, les chaînes habituellement les plus regardées, dont Roustavi 2 (favorable au président), étant interdites d'informations.
Depuis l'irruption mercredi soir de forces spéciales dans ses locaux, Imedi TV, proche de l'opposition, n'émet même plus du tout. Quant aux radios, elles en sont réduites à diffuser de la musique. La mairie de Tbilissi a également annoncé des restrictions sur les transports, surtout dans le centre, visant à empêcher l'arrivée en masse d'éventuels manifestants.
Dans les petits magasins de la ville, les vendeuses ont zappé sur la seule chaîne d'Etat qui diffuse des informations, les chaînes habituellement les plus regardées, dont Roustavi 2 (favorable au président), étant interdites d'informations.
Depuis l'irruption mercredi soir de forces spéciales dans ses locaux, Imedi TV, proche de l'opposition, n'émet même plus du tout. Quant aux radios, elles en sont réduites à diffuser de la musique. La mairie de Tbilissi a également annoncé des restrictions sur les transports, surtout dans le centre, visant à empêcher l'arrivée en masse d'éventuels manifestants.
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