Barrages routiers, caméras de surveillance, présence policière renforcée : des mesures de sécurité sans précédent ont été prises dans les plus grandes villes du pays, signe du sentiment de peur qui habite toujours la population.
2008 aura été une année particulièrement sombre pour l'Inde, où plus de 400 personnes ont été tuées au total dans une dizaine d'attentats.
La crise économique a ajouté aux inquiétudes de la population et la plupart des célébrations du nouvel an extravagantes, habituellement organisées à Bombay, ont été annulées.
"Je vais organiser une soirée calme à la maison avec mes amis. Nous ne prévoyons pas de faire la fête", témoigne Nirbhay Kanoria, âgé de 24 ans.
Kanoria aurait de toutes façons eu du mal à trouver des endroits où s'amuser. La plupart des hôtels de luxe et des boîtes de nuit ont remplacé leurs soirées de prestige par des concerts ou de simples dîners.
Au Taj Mahal, l'un des deux hôtels de luxe visés par les assaillants le mois dernier, les restaurants offriront tout de même des menus spéciaux, a déclaré un porte-parole.
Dans les quartiers les plus populaires de la capitale économique de l'Inde, comme la promenade de Marine Drive ou la Gateway of India, les festivités devraient prendre fin peu après minuit.
"Cette année, l'ambiance devrait être un peu triste parce que (les attentats) sont dans toutes les têtes", estime K.L. Prasad, un haut responsable de la police de Bombay. "Des moyens supplémentaires ont été mobilisés et il y aura une présence policière renforcée à travers la ville."
La police maritime et les garde-côtes patrouilleront dans le port et seront en contact permanent avec la marine indienne, qui a annulé son bal annuel. Les auteurs des attentats de Bombay étaient arrivés par la mer.
La sécurité a été renforcée dans les autres villes, comme à New Delhi, où la police a ordonné aux bars de fermer avant minuit. Quelque 60.000 hommes seront mobilisés dans la capitale.
Des milliers d'autres, dont un certain nombre en civil, patrouilleront dans les rues de Calcutta, la capitale de l'Etat du Bengale occidental, a dit un responsable de la police.
Source: Yahoo News
2008 aura été une année particulièrement sombre pour l'Inde, où plus de 400 personnes ont été tuées au total dans une dizaine d'attentats.
La crise économique a ajouté aux inquiétudes de la population et la plupart des célébrations du nouvel an extravagantes, habituellement organisées à Bombay, ont été annulées.
"Je vais organiser une soirée calme à la maison avec mes amis. Nous ne prévoyons pas de faire la fête", témoigne Nirbhay Kanoria, âgé de 24 ans.
Kanoria aurait de toutes façons eu du mal à trouver des endroits où s'amuser. La plupart des hôtels de luxe et des boîtes de nuit ont remplacé leurs soirées de prestige par des concerts ou de simples dîners.
Au Taj Mahal, l'un des deux hôtels de luxe visés par les assaillants le mois dernier, les restaurants offriront tout de même des menus spéciaux, a déclaré un porte-parole.
Dans les quartiers les plus populaires de la capitale économique de l'Inde, comme la promenade de Marine Drive ou la Gateway of India, les festivités devraient prendre fin peu après minuit.
"Cette année, l'ambiance devrait être un peu triste parce que (les attentats) sont dans toutes les têtes", estime K.L. Prasad, un haut responsable de la police de Bombay. "Des moyens supplémentaires ont été mobilisés et il y aura une présence policière renforcée à travers la ville."
La police maritime et les garde-côtes patrouilleront dans le port et seront en contact permanent avec la marine indienne, qui a annulé son bal annuel. Les auteurs des attentats de Bombay étaient arrivés par la mer.
La sécurité a été renforcée dans les autres villes, comme à New Delhi, où la police a ordonné aux bars de fermer avant minuit. Quelque 60.000 hommes seront mobilisés dans la capitale.
Des milliers d'autres, dont un certain nombre en civil, patrouilleront dans les rues de Calcutta, la capitale de l'Etat du Bengale occidental, a dit un responsable de la police.
Source: Yahoo News
Accueil
Envoyer à un ami
Version imprimable
Le gène de la paresse
