"Vous connaissez la situation, le président vient d'en parler. Ca ne nous empêche pas, non seulement de nous acharner, mais d'employer tous les moyens possibles pour essayer et pour réussir à faire sortir Ingrid Betancourt", a déclaré le ministre des Affaires étrangères à l'issue du conseil des ministres.
"Les obstacles s'accumulent; eh bien!, notre décision est encore plus ferme que d'habitude et notre acharnement aussi", a lancé le ministre. "C'est une urgence véritable, c'est humainement pas possible de la laisser."
Selon le porte-parole du gouvernement, le président Sarkozy a répété sa disponibilité à se rendre à la frontière colombienne "à condition que ça puisse permettre une libération, notamment d'Ingrid Betancourt". "Dans la vie d'un homme politique (...) se battre pour sauver des vies, c'est quelque chose qui compte", a déclaré Nicolas Sarkozy, selon Laurent Wauquiez.
Il a en revanche précisé que le N°2 des FARC Raul Reyes "avait été, pas récemment mais dans le passé, un interlocuteur de la France", "comme des autres pays qui sont investis sur ce sujet de la libération des otages". "M. Reyes était bien l'interlocuteur depuis longtemps", mais il ne l'avait pas été "sur les derniers jours plus particulièrement", a-t-il insisté.
Mardi, le Quai d'Orsay avait affirmé que Paris avait des contacts avec Reyes, dont l'élimination samedi a fortement tendu les relations de la Colombie avec l'Equateur et le Venezuela.
nouvelobs.com
"Les obstacles s'accumulent; eh bien!, notre décision est encore plus ferme que d'habitude et notre acharnement aussi", a lancé le ministre. "C'est une urgence véritable, c'est humainement pas possible de la laisser."
Selon le porte-parole du gouvernement, le président Sarkozy a répété sa disponibilité à se rendre à la frontière colombienne "à condition que ça puisse permettre une libération, notamment d'Ingrid Betancourt". "Dans la vie d'un homme politique (...) se battre pour sauver des vies, c'est quelque chose qui compte", a déclaré Nicolas Sarkozy, selon Laurent Wauquiez.
Il a en revanche précisé que le N°2 des FARC Raul Reyes "avait été, pas récemment mais dans le passé, un interlocuteur de la France", "comme des autres pays qui sont investis sur ce sujet de la libération des otages". "M. Reyes était bien l'interlocuteur depuis longtemps", mais il ne l'avait pas été "sur les derniers jours plus particulièrement", a-t-il insisté.
Mardi, le Quai d'Orsay avait affirmé que Paris avait des contacts avec Reyes, dont l'élimination samedi a fortement tendu les relations de la Colombie avec l'Equateur et le Venezuela.
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