Vers 15h15 GMT, le contrat septembre sur le brut léger américain perdait 2,23 dollars, soit 1,78%, à 123,26 dollars le baril et le Brent cédait 2,32 dollar (1,83%) à 124,12 dollars.
Après avoir atteint un niveau record à plus de 147 dollars le 11 juillet, le baril de pétrole a depuis cédé plus de 20 dollars en raison des inquiétudes liées à une baisse de la demande.
Toutefois, des rachats de positions à découvert avaient permis aux cours de remonter légèrement depuis jeudi.
Certains analystes misent à présent sur une poursuite de la tendance baissière. Jim Ritterbusch, président de Ritterbusch & Associates, s'attend à un possible recul jusqu'à 117 dollars d'ici une semaine.
Pour d'autres, le marché risque de fluctuer dans une marge assez large, notamment en raison d'éléments de soutien comme les tensions politiques au Nigeria.
"Nous avons identifié l'intervalle 115/140 dollars comme étant le domaine de spéculation le plus probable pour ce trimestre", indiquent les analystes de Barclays Capital dans une étude.
Source: yahoo news
Après avoir atteint un niveau record à plus de 147 dollars le 11 juillet, le baril de pétrole a depuis cédé plus de 20 dollars en raison des inquiétudes liées à une baisse de la demande.
Toutefois, des rachats de positions à découvert avaient permis aux cours de remonter légèrement depuis jeudi.
Certains analystes misent à présent sur une poursuite de la tendance baissière. Jim Ritterbusch, président de Ritterbusch & Associates, s'attend à un possible recul jusqu'à 117 dollars d'ici une semaine.
Pour d'autres, le marché risque de fluctuer dans une marge assez large, notamment en raison d'éléments de soutien comme les tensions politiques au Nigeria.
"Nous avons identifié l'intervalle 115/140 dollars comme étant le domaine de spéculation le plus probable pour ce trimestre", indiquent les analystes de Barclays Capital dans une étude.
Source: yahoo news
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Le gène de la paresse
