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Les quotidiens nationaux sont absents des kiosques en raison d'une grève des ouvriers du livre dénonçant un plan de réorganisation des NMPP qui vise à relancer la distribution.
La distribution des magazines devait être retardée à Paris. Les quotidiens régionaux, qui organisent en général eux-mêmes leur distribution, devraient être disponibles.
Une grève similaire avait été organisée en novembre pour le même motif.
La direction des NMPP avait alors expliqué que les 350 suppressions de postes prévues ne donneraient lieu à aucun licenciement sec, le plan prévoyant 240 départs en préretraite et 110 reclassements.
Plusieurs journaux ont publié mercredi une lettre ouverte adressée "à ceux qui veulent tuer la presse quotidienne", condamnant les actions d'"une poignée d'irresponsables qui depuis deux mois, chaque nuit, bloquent la distribution des journaux et brûlent les quotidiens".
"Vos comportements sont en train de tuer la presse quotidienne. Arrêtez ! Arrêtez tout de suite", concluait ce message signé des dirigeants des principaux journaux, auquel le quotidien communiste L'Humanité ne s'est pas associé.
La presse écrite française traverse une crise due en partie à la progression d'internet et des quotidiens gratuits. Des plans de restructuration ont affecté récemment les grands quotidiens comme Le Figaro, Le Monde et Libération.
Source: news.yahoo.com
La distribution des magazines devait être retardée à Paris. Les quotidiens régionaux, qui organisent en général eux-mêmes leur distribution, devraient être disponibles.
Une grève similaire avait été organisée en novembre pour le même motif.
La direction des NMPP avait alors expliqué que les 350 suppressions de postes prévues ne donneraient lieu à aucun licenciement sec, le plan prévoyant 240 départs en préretraite et 110 reclassements.
Plusieurs journaux ont publié mercredi une lettre ouverte adressée "à ceux qui veulent tuer la presse quotidienne", condamnant les actions d'"une poignée d'irresponsables qui depuis deux mois, chaque nuit, bloquent la distribution des journaux et brûlent les quotidiens".
"Vos comportements sont en train de tuer la presse quotidienne. Arrêtez ! Arrêtez tout de suite", concluait ce message signé des dirigeants des principaux journaux, auquel le quotidien communiste L'Humanité ne s'est pas associé.
La presse écrite française traverse une crise due en partie à la progression d'internet et des quotidiens gratuits. Des plans de restructuration ont affecté récemment les grands quotidiens comme Le Figaro, Le Monde et Libération.
Source: news.yahoo.com
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