"Pas du tout. Jouer des Italiens, des Anglais ou des Allemands, ça ne change rien. Milan et la Roma étaient plus forts que nous au moment où nous les avons rencontrés. A nous de montrer qu'on peut les battre cette fois", avance pourtant le milieu de terrain Kim Källström.
Rassuré par un départ canon en championnat et une place de leader grâce à quatre victoires et un match nul lors des cinq premières journées, l'OL s'avance sereinement vers sa neuvième campagne de Ligue des Champions.
"La victoire à l'arraché contre Nice samedi dernier, après avoir été mené 2 à 0, nous a apportés encore plus de confiance", abonde l'attaquant brésilien Ederson, qui découvrira cette compétition comme son grand ami et équipier Hugo Lloris.
Placé pour la première fois de son histoire dans le premier chapeau au moment du tirage au sort, le septuple champion de France doit donc immédiatement assumer son rôle de favori. "On aborde ce match contre la Fiorentina comme un match déjà décisif. Il faut absolument le gagner", annonce le président Jean-Michel Aulas, alors que Karim Benzema veut tirer les leçons du passé.
"Mieux vaut éviter de perdre 3 à 0 comme l'année dernière!", confie la petite merveille lyonnaise, "excitée de jouer ces grands matches".
Si la lourde défaite à Barcelone, au même stade de la compétition la saison passée n'avait pas empêché les Lyonnais de se qualifier pour les 8ème de finale, une statistique démontre l'importance de bien débuter la compétition, surtout à domicile. L'OL a joué six fois le premier match de Ligue des Champions sur son terrain. Bilan: quatre victoires (Heerenveen, Anderlecht, Real Madrid deux fois), un match nul (Manchester United) et une défaite. Ce revers, en 2001 contre Leverkusen, a entraîné la seule élimination du club dès le premier tour.
"Compte-tenu de cette statistique, jouer à domicile le premier et le dernier match sera un élément très important", explique Ederson. "Mais méfions-nous de cette équipe italienne. Il ne faut pas tomber dans le piège de penser qu'on domine le match, car ils sont capables de marquer à tout moment", confie Juninho en référence aux individualités offensives de l'équipe florentine, Mutu et Gilardino. A l'heure de diriger son premier match de Ligue des Champions sur le banc lyonnais, Claude Puel a certainement entendu le message.
Source: Yahoo News
Rassuré par un départ canon en championnat et une place de leader grâce à quatre victoires et un match nul lors des cinq premières journées, l'OL s'avance sereinement vers sa neuvième campagne de Ligue des Champions.
"La victoire à l'arraché contre Nice samedi dernier, après avoir été mené 2 à 0, nous a apportés encore plus de confiance", abonde l'attaquant brésilien Ederson, qui découvrira cette compétition comme son grand ami et équipier Hugo Lloris.
Placé pour la première fois de son histoire dans le premier chapeau au moment du tirage au sort, le septuple champion de France doit donc immédiatement assumer son rôle de favori. "On aborde ce match contre la Fiorentina comme un match déjà décisif. Il faut absolument le gagner", annonce le président Jean-Michel Aulas, alors que Karim Benzema veut tirer les leçons du passé.
"Mieux vaut éviter de perdre 3 à 0 comme l'année dernière!", confie la petite merveille lyonnaise, "excitée de jouer ces grands matches".
Si la lourde défaite à Barcelone, au même stade de la compétition la saison passée n'avait pas empêché les Lyonnais de se qualifier pour les 8ème de finale, une statistique démontre l'importance de bien débuter la compétition, surtout à domicile. L'OL a joué six fois le premier match de Ligue des Champions sur son terrain. Bilan: quatre victoires (Heerenveen, Anderlecht, Real Madrid deux fois), un match nul (Manchester United) et une défaite. Ce revers, en 2001 contre Leverkusen, a entraîné la seule élimination du club dès le premier tour.
"Compte-tenu de cette statistique, jouer à domicile le premier et le dernier match sera un élément très important", explique Ederson. "Mais méfions-nous de cette équipe italienne. Il ne faut pas tomber dans le piège de penser qu'on domine le match, car ils sont capables de marquer à tout moment", confie Juninho en référence aux individualités offensives de l'équipe florentine, Mutu et Gilardino. A l'heure de diriger son premier match de Ligue des Champions sur le banc lyonnais, Claude Puel a certainement entendu le message.
Source: Yahoo News
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Le gène de la paresse
