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03/01/2011 - 16:21

Nouvelle hausse de l'activité manufacturière aux USA et actus Economie

Nouvelle hausse de l'activité manufacturière aux USA - Wall Street ouvre en hausse la première séance de l'année - Immatriculations en recul de 2% en 2010 - Bruxelles enquête sur l'impôt de crise en Hongrie - Fiat scindée en deux a plus de valeur en Bourse - Le pétrole devrait éviter une nouvelle flambée à 150 dollars - La Chine va continuer à investir dans la dette espagnole - Croissance record en Allemagne en 2010 depuis la réunification



Nouvelle hausse de l'activité manufacturière aux USA et actus Economie
Nouvelle hausse de l'activité manufacturière aux USA
L'activité du secteur manufacturier a connu son 17e mois de croissance en décembre aux Etats-Unis, nouvelle preuve du renforcement de la reprise économique dans le pays, selon l'indice d'activité industrielle des directeurs d'achats publié lundi. Cet indice, calculé par l'Institute for Supply Management (ISM), s'est établi à 57 pour le mois de décembre, contre 56,6 en novembre et 56,9 en octobre. Les 57 analystes et économistes de marché interrogés par Reuters tablaient sur un indice à 57. La composante des prises de commandes, qui préfigure l'évolution de l'activité pour les mois à venir, s'est établie à 60,9, contre 56,6 en novembre et 58,9 en octobre. Celle de l'emploi a en revanche reculé. Elle s'est établie à 55,7 contre 57,5 en novembre. (Reuters)

Wall Street ouvre en hausse la première séance de l'année
Wall Street a ouvert la première séance de l'année en hausse, les investisseurs misant sur une amplification en 2011 des bonnes performances de la fin de l'année 2010 et saluant l'accélération de l'activité dans les services en Chine au mois de décembre. Quelques minutes après le début des échanges, l'indice Dow Jones gagnait 0,82% à 11.672,64 points, le Standard & Poor's 500 0,85% à 1.268,29 points et le Nasdaq Composite 1% à 2.679,47 points. Les marchés pourraient en outre réagir à la publication de l'indice ISM manufacturier attendu à 15h00 GMT (16h00 à Paris). Sur le front des valeurs, le titre Bank of America prend 4,27% à l'ouverture. La banque va provisionner trois milliards de dollars dans ses comptes du quatrième trimestre relativement à des crédits immobiliers cédés à Fannie Mae et Freddie Mac selon les termes d'un accord à l'amiable concernant un litige sur ces prêts rachetés. L'action Alcoa s'affiche également en hausse (+3,57%) après le relèvement du conseil de Deutsche Bank sur la valeur à achat en anticipation d'une hausse des prix de l'aluminium. (Reuters)

Immatriculations en recul de 2% en 2010
Les ventes de voitures neuves en France devraient continuer de profiter en début 2011 d'un effet à retardement lié à la prime à la casse, après une année 2010 qui a vu les immatriculations reculer de 2,2%, a annoncé lundi le Comité des constructeurs français d'automobiles (CCFA). Les immatriculations dans l'Hexagone sont ressorties à 228.383 unités en décembre, en recul de 0,7%, soit une baisse de 5,0% des ventes de voitures particulières à nombre de jours comparables. Le mois de décembre a été jugé stratégique pour l'industrie automobile française: les aides publiques destinées à stimuler les ventes de véhicules sont arrivées à leur terme et l'arrêt de la prime à la casse, même réduite de moitié, a provoqué un effet d'aubaine au moins aussi fort qu'en 2009. "Les commandes de décembre ont été très bonnes. Ça ne se reflète pas forcément dans les immatriculations. On devrait avoir un premier trimestre 2011 plutôt bon", a commenté un porte-parole du CCFA. La prime à la casse, instaurée pour aider le secteur automobile à faire face à la crise violente de la fin 2008, était initialement fixée à 1.000 euros. Elle a été réduite progressivement en 2010, à 700 euros au 1er janvier puis à 500 euros au 1er juillet, avant de disparaître au 31 décembre. (Reuters)

Bruxelles enquête sur l'impôt de crise en Hongrie
La Commission européenne a annoncé lundi avoir ouvert une enquête sur la légalité de l'"impôt de crise" que la Hongrie a décidé d'imposer à divers secteurs économiques et avoir également décidé d'étudier les plaintes de sociétés soumises à cette nouvelle taxe. Le gouvernement hongrois a prélevé cet impôt exceptionnel en octobre sur les secteurs de l'énergie, des télécommunications et de la distribution, collectant 161 milliards de forints (57,8 millions d'euros). Cette taxe, qui concerne aussi le secteur financier, doit expirer en 2013. Quinze entreprises, dont de grands groupes comme ING Group, RWE AG, Deutsche Telekom ou OMV ont adressé à l'exécutif européen un courrier commun de protestation et ont reçu le soutien du ministre allemand de l'Economie Rainer Brüderle. Un porte-parole de la Commission européenne, Olivier Bailly, a déclaré lundi que Bruxelles avait écrit dès octobre à la Hongrie pour demander des informations et obtenu une réponse avant d'être sollicité par les entreprises concernées. (Reuters)

Fiat scindée en deux a plus de valeur en Bourse
Le titre Fiat et celui de Fiat Industrial introduit lundi à la Bourse de Milan, se traitent à une valeur combinée qui dépasse celle de la seule action Fiat avant la scission. La séparation de la branche camions et tracteurs de l'activité de construction de voitures fait partie de la stratégie de l'administrateur délégué Sergio Marchionne d'assouplir le groupe pour favoriser sa croissance et l'aider à conclure de nouvelles alliances. L'opération devrait notamment faciliter une fusion avec l'américain Chrysler, détenu à 20% par Fiat. Sergio Marchionne a indiqué lundi ne pas prévoir de fusion "aujourd'hui", mais envisager un passage à 51% dès cette année. "Si Chrysler est coté en Bourse cette année, nous devrions envisager d'accélérer l'option d'une augmentation de notre part dans Chrysler", a-t-il déclaré à la presse après les débuts boursiers de Fiat Industrial. Vers 11h00 GMT, le titre Fiat s'échangeait à 7,02 euros et celui de Fiat Industrial à 8,79 euros. Leur valeur combinée, 15,81 euros, dépasse légèrement le cours de clôture de Fiat jeudi, avant la division (15,43 euros). (Reuters)

Le pétrole devrait éviter une nouvelle flambée à 150 dollars
Près de trois ans jour pour jour après son premier passage au-dessus des 100 dollars, le baril de pétrole menace à nouveau de franchir ce seuil, mais la comparaison avec 2008 devrait s'arrêter là. Selon les analystes, les raisons sont nombreuses pour empêcher le brut de s'envoler à nouveau jusqu'aux alentours de 150 dollars le baril et d'infliger ainsi un coup violent à l'économie mondiale. Sur le long terme, les entreprises productrices développent leurs investissements pour anticiper une crise de l'offre, le dollar s'est renchéri et les inquiétudes sur la production se sont apaisées. Les arguments portant sur le court terme pèsent encore plus lourd : les réserves de pétrole sont nettement plus importantes et la capacité mondiale de raffinage s'est fortement développée. Surtout, et contrairement à 2008, l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) dispose de nombreux sites d'extraction en sommeil, qu'elle peut réactiver quand bon lui semble pour freiner tout emballement du marché. En moyenne, les marchés anticipent une hausse des cours de 8% sur 2011. (Reuters)

La Chine va continuer à investir dans la dette espagnole
La Chine continuera à participer aux futures émissions de dette souveraine de l'Espagne, écrit le vice-Premier ministre Li Keqiang dans un éditorial publié lundi par le quotidien espagnol El Pais. Les autorités chinoises croient en la solidité du système financier espagnol, ajoute celui qui devrait succéder au Premier ministre Wen Jiabao en 2013. "La Chine est un investisseur responsable et durable sur le marché financier européen, et particulièrement en Espagne. Nous faisons confiance au marché financier espagnol et avons en conséquence investi dans sa dette publique, ce que nous continuerons à faire à l'avenir", écrit Li Keqiang. Ce dernier entame mardi une visite de trois jours en Espagne. (Reuters)

Croissance record en Allemagne en 2010 depuis la réunification
L'économie allemande devrait avoir connu en 2010 une croissance sans précédent depuis la réunification, en 1990, a déclaré samedi le ministre de l'Economie, Rainer Brüderle. Le gouvernement Merkel prévoit une spectaculaire progression du PIB de 3,4% pour l'année écoulée - l'hypothèse de croissance initialement retenue par Berlin n'était que de 1,4%, mais elle a été revue en nette hausse en octobre dernier. "En dépit de la sévérité de l'hiver, nous pouvons supposer que nous aurons une croissance record en 2010", a dit le ministre en évoquant la vague de froid et les fortes chutes de neige qui ont pénalisé l'activité économique en décembre. Mais Brüderle n'a pas confirmé les informations relayées par plusieurs médias allemands, selon lesquels il aurait évoqué une croissance de 3,6%, un niveau sans précédent depuis 1990. En 2006, précédent record post-réunification, la croissance avait atteint 3,4%. Cette année de reprise fait suite à la récession de 2009, où l'économie allemande s'était contractée de 4,7% du fait de la crise mondiale. (Reuters)

Source : Yahoo Actualités


Ryma Mendy










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