C’est la consternation à Yoff Ndangagne, un quartier dakarois. L’effondrement de la dalle très vétuste d’un abri construit à côté d’une mosquée a fait neuf morts dont deux enfants de sexe féminin âgés respectivement de deux et cinq ans.
Quelques heures après le drame intervenu après la prière de 14h 15 (tisbar), le lieu continuait à refuser du monde. La foule était massée tout autour des lieux. Après l’accident, la nouvelle s’est répandue comme une traînée de poudre. Les populations des quartiers environnants, notamment les jeunes, ont afflué vers le quartier de Yoff Ndangagne. Malgré la pluie, les gens continuaient à venir. D’autres, certainement des proches des victimes, avaient le téléphone portable collé à l’oreille. Au poste de santé de Yoff, le médecin a confirmé le triste bilan de neuf morts.
Selon les informations recueillies auprès de Taïrou Diagne, tenancier de la boutique qui fait face à la mosquée, la dalle de l’abri s’est affaissée sur les victimes qui avaient l’habitude de se retrouver sur ce lieu. « Elles étaient là pour se reposer », fait-il savoir.
Source: Le soleil
Quelques heures après le drame intervenu après la prière de 14h 15 (tisbar), le lieu continuait à refuser du monde. La foule était massée tout autour des lieux. Après l’accident, la nouvelle s’est répandue comme une traînée de poudre. Les populations des quartiers environnants, notamment les jeunes, ont afflué vers le quartier de Yoff Ndangagne. Malgré la pluie, les gens continuaient à venir. D’autres, certainement des proches des victimes, avaient le téléphone portable collé à l’oreille. Au poste de santé de Yoff, le médecin a confirmé le triste bilan de neuf morts.
Selon les informations recueillies auprès de Taïrou Diagne, tenancier de la boutique qui fait face à la mosquée, la dalle de l’abri s’est affaissée sur les victimes qui avaient l’habitude de se retrouver sur ce lieu. « Elles étaient là pour se reposer », fait-il savoir.
Source: Le soleil
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Le gène de la paresse
