D'après le récit d'habitants, un engin télécommandé à distance a explosé le long d'une rue menant au palais présidentiel.
Neuf femmes sont mortes sur place et quatre victimes ont succombé aux urgences de l'hôpital Madina, le plus important de la capitale somalienne de la capitale somalienne.
Une femme est décédée par la suite, ce qui porte à 14 le dernier bilan provisoire des victimes. "Nous avons rassemblé les restes de neuf femmes décédées, et notre travail n'est pas fini", a raconté Fardowsa Ahmed, qui participe aux opérations. "Un minibus rempli de femmes grièvement touchées a déjà pris le chemin de l'hôpital et je crains que le bilan ne s'alourdisse.
"Seules deux vendeuses de thé ont survécu au carnage", a-t-elle précisé.
Les islamistes, qui ont été chassés du pouvoir fin 2006, mènent des attaques quasi quotidiennes contre les forces gouvernementales et leurs alliés éthiopiens.
La violence politique a fait depuis lors plus de 8.000 morts dans ce pays de la Corne de l'Afrique privé d'Etat central depuis le renversement en 1991 du président autocrate Mohamed Siad Barre.
Source: Yahoo News
Neuf femmes sont mortes sur place et quatre victimes ont succombé aux urgences de l'hôpital Madina, le plus important de la capitale somalienne de la capitale somalienne.
Une femme est décédée par la suite, ce qui porte à 14 le dernier bilan provisoire des victimes. "Nous avons rassemblé les restes de neuf femmes décédées, et notre travail n'est pas fini", a raconté Fardowsa Ahmed, qui participe aux opérations. "Un minibus rempli de femmes grièvement touchées a déjà pris le chemin de l'hôpital et je crains que le bilan ne s'alourdisse.
"Seules deux vendeuses de thé ont survécu au carnage", a-t-elle précisé.
Les islamistes, qui ont été chassés du pouvoir fin 2006, mènent des attaques quasi quotidiennes contre les forces gouvernementales et leurs alliés éthiopiens.
La violence politique a fait depuis lors plus de 8.000 morts dans ce pays de la Corne de l'Afrique privé d'Etat central depuis le renversement en 1991 du président autocrate Mohamed Siad Barre.
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Le gène de la paresse
