Régulièrement pointés du doigt cette saison par Valentino Rossi, les gommes Michelin vivent peut-être leurs dernières heures dans les malles de l'Italien. Clairement moins performants que ceux du concurent Bridgestone ces derniers mois, les pneus français ne devraient plus équiper la M1 du Dottore en 2008. La rumeur d'un passage du pilote Yamaha vers Bridgestone enfle au fil des jours dans le paddock. A tel point qu'un accord est parfois annoncé la semaine prochaine.
Un contrat particulier pour Rossi ?
Fatigué de voir Casey Stoner évoluer sur une autre planète, Valentino Rossi aurait insisté pour convaincre ses dirigeants de changer d'équipementier dès la fin du championnat. Le septuple champion du monde aurait négocié un contrat personnel. Son futur coéquipier, Jorge Lorenzo, continuerait lui avec la firme française. Le Dottore avait d'ailleurs menacé Michelin aussitôt le sacre de l'Australien entériné : «Nous attendons un gros effort de Michelin l'an prochain pour améliorer la situation, mais il est évident que les Français ont été pris de court par la nouvelle règle concernant les pneus qui a été appliquée cette année. Nous devons prendre une décision rapidement.» Davide Brivio, patron du team, n'a pas souhaité confirmer l'information cette semaine. Mais le dirigeant transalpin a expliqué, dans la Gazzetta dello Sport, que son team opterait l'an prochain pour le meilleur partenaire possible : «Puisque le marché est ouvert, nous prendrons le temps de la réflexion, nous parlerons à Michelin et nous évaluerons peut-être d’autres alternatives. Mais je démens qu’une décision a déjà été prise.»
Lire la suite de cet article de Gilles FESTOR dans Sport24.com.
Un contrat particulier pour Rossi ?
Fatigué de voir Casey Stoner évoluer sur une autre planète, Valentino Rossi aurait insisté pour convaincre ses dirigeants de changer d'équipementier dès la fin du championnat. Le septuple champion du monde aurait négocié un contrat personnel. Son futur coéquipier, Jorge Lorenzo, continuerait lui avec la firme française. Le Dottore avait d'ailleurs menacé Michelin aussitôt le sacre de l'Australien entériné : «Nous attendons un gros effort de Michelin l'an prochain pour améliorer la situation, mais il est évident que les Français ont été pris de court par la nouvelle règle concernant les pneus qui a été appliquée cette année. Nous devons prendre une décision rapidement.» Davide Brivio, patron du team, n'a pas souhaité confirmer l'information cette semaine. Mais le dirigeant transalpin a expliqué, dans la Gazzetta dello Sport, que son team opterait l'an prochain pour le meilleur partenaire possible : «Puisque le marché est ouvert, nous prendrons le temps de la réflexion, nous parlerons à Michelin et nous évaluerons peut-être d’autres alternatives. Mais je démens qu’une décision a déjà été prise.»
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