1. Notez, notez, notez
C’est la case départ d’une bonne gestion de vos priorités. Ne laissez pas toutes les tâches que vous avez à faire flotter dans votre esprit, et ce pour deux raisons. 1. vous en oublierez. 2. Les demandes extérieures prendront toujours le pas sur vos propres tâches. Les 2 supports conseillés : la liste de tâches et l’agenda électronique synchronisé.
Pratique importante pour honorer les dieux, pour valoriser les rites de fertilité, l’ésotérisme et la religion, la danse orientale était considérée comme une discipline ancestrale. Son histoire remonte donc à très longtemps et son origine est quelquefois controversée. Certains affirment qu’elle est originaire d’Egypte tandis que d’autres avancent qu’elle est d’origine mésopotamienne. Puisqu’on a observé un certain degré de perfection dans les pays égyptiens, les connaisseurs se sont mis d’accord que finalement la danse orientale arrive tout droit de ce pays.
Une danse interdite à une certaine époque
Durant l’occupation romaine qui a brisé la société égyptienne, le dynamisme des arts et de la danse populaire ont connu un certain ralentissement. Les caïds, qui dominaient le pays pendant la conquête arabe, interdisaient même la pratique de la danse orientale. Avec l’art théâtral, tout ce qui représentait la danse orientale comme les peintures et les statues ont été banni.
Première découverte par les français
En 1800, Bonaparte et ses soldats arrivaient sur le sol égyptien. C’est à cette époque donc que les français ont découvert la danse orientale qu’ils surnommaient directement la danse du ventre. Marquée par les mouvements du bassin et des hanches, la danse du ventre dénudé captivait visiblement l’attention des soldats en quête d’exotisme.
L’évolution de la danse orientale au seuil du 20ème siècle
Au début du 20ème siècle, précisément dans les années 1940, la danse orientale qu’on baptisait désormais danse du ventre faisait son entrée en Amérique et en Europe. On l’apprécie surtout dans les soirées animées et les cabarets nocturnes. Grâce à cette occidentalisation, la danse a donc adopté une certaine modernisation. On la pratiquait désormais avec une nouvelle tenue deux pièces et un nouvel accessoire comme le voile.
Malgré cette technique, ces nouveaux costumes et ces noms qui diffèrent d’une région à une autre, les femmes arabes et surtout les égyptiennes honorent cette danse comme une forme d’art ancestral et populaire qui mérite d’être perpétuée de génération en génération.
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