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Europe
21/07/2008 - 18:45

Dublin: Sarkozy respecte le non irlandais


Le président français Nicolas Sarkozy a "confirmé" lundi qu'il "respectait" le "non" irlandais au traité de Lisbonne, lors d'une visite éclair à Dublin où il a été accueilli par plus d'un millier de manifestants, opposants ou partisans.



"Le président de la République a confirmé qu'il respectait le résultat du référendum irlandais mais s'est félicité de constater que le processus de ratification se poursuivait dans les autres Etats membres" de l'Union européenne, ont indiqué Paris et Dublin dans un communiqué commun publié à l'issue de l'entretien entre M. Sarkozy et le Premier ministre irlandais Brian Cowen.

"Les deux hommes se sont engagés à agir en étroite concertation afin de trouver le moyen de faire progresser l'Union", selon ce communiqué.

De son côté, Brian Cowen a indiqué que son gouvernement "se donnait pour but de mieux comprendre les préoccupations qui avaient influé sur l'issue de ce référendum, étape indispensable avant de décider comment y apporter la meilleure réponse", poursuit le texte.

M. Cowen a ajouté que "des consultations approfondies auraient lieu, tant sur le plan interne qu'avec les partenaires de l'UE, dans la perspective de la réunion du Conseil européen" d'octobre, selon la même source.

Au cours de ce bref déplacement, M. Sarkozy, qui assure la présidence de l'Union européenne (UE), devait également s'entretenir avec les responsables des principaux partis.

Une réunion séparée devait ensuite se tenir à la résidence de l'ambassadeur de France avec des représentants des camps du "oui" et du "non", notamment le dirigeant du parti Sinn Féin, Gerry Adams, seule formation représentée au Parlement à avoir appelé à voter non, ou le responsable de l'assocation Libertas Declan Ganley.

Des manifestations, réunissant entre 1.400 et 1.800 personnes selon la police, ont accompagné sa venue.

Des opposants au traité de Lisbonne brandissaient des pancartes demandant "Sarkozy, respectez le vote sur Lisbonne. Non c'est non", ou assurant "Le traité de Lisbonne est mort".

Plusieurs manifestants ont même brandi des pancartes affirmant "casse-toi pauvre con Sarkozy", en référence à l'invective lancée par le président français à un visiteur du salon de l'agriculture à Paris en février dernier.

Mais M. Sarkozy avait aussi ses partisans, qui représentaient à peu près la moitié des manifestants, avec les agriculteurs irlandais appréciant sa position de fermeté sur la question de la libéralisation du commerce mondial.

Le chef de la diplomatie française Bernard Kouchner, qui accompagne M. Sarkozy à Dublin, a assuré qu'il n'était pas dans les intentions françaises de bousculer l'Irlande.

"Nous allons là-bas (à Dublin) en tant que France présidente de l'Union européenne et non pas en tant que +France donneuse de leçons+. Nous écouterons chaque camp", a-t-il déclaré au quotidien britannique Times.

Se disant prêt à "écouter", le chef de l'Etat français avait pour sa part expliqué, dans une interview au quotidien Irish Times parue samedi, vouloir "comprendre" les raisons du "non" à 53% au référendum du 12 juin en Irlande.

M. Sarkozy avait auparavant suscité la colère en Irlande, en jugeant en début de semaine passée devant des députés de son parti que les "Irlandais devront revoter".

Aucune percée n'est attendue à l'occasion de cette visite, Dublin ayant besoin de temps pour réfléchir à une sortie de crise, selon des diplomates français et irlandais.

L'Irlande est le seul pays obligé, par sa Constitution, à soumettre le traité européen à référendum.

Les 26 autres pays de l'UE le soumettent à une ratification parlementaire.

"Le président de la République a confirmé qu'il respectait le résultat du référendum irlandais mais s'est félicité de constater que le processus de ratification se poursuivait dans les autres Etats membres" de l'Union européenne, ont indiqué Paris et Dublin dans un communiqué commun publié à l'issue de l'entretien entre M. Sarkozy et le Premier ministre irlandais Brian Cowen.

"Les deux hommes se sont engagés à agir en étroite concertation afin de trouver le moyen de faire progresser l'Union", selon ce communiqué.

De son côté, Brian Cowen a indiqué que son gouvernement "se donnait pour but de mieux comprendre les préoccupations qui avaient influé sur l'issue de ce référendum, étape indispensable avant de décider comment y apporter la meilleure réponse", poursuit le texte.

M. Cowen a ajouté que "des consultations approfondies auraient lieu, tant sur le plan interne qu'avec les partenaires de l'UE, dans la perspective de la réunion du Conseil européen" d'octobre, selon la même source.

Au cours de ce bref déplacement, M. Sarkozy, qui assure la présidence de l'Union européenne (UE), devait également s'entretenir avec les responsables des principaux partis.

Une réunion séparée devait ensuite se tenir à la résidence de l'ambassadeur de France avec des représentants des camps du "oui" et du "non", notamment le dirigeant du parti Sinn Féin, Gerry Adams, seule formation représentée au Parlement à avoir appelé à voter non, ou le responsable de l'assocation Libertas Declan Ganley.

Des manifestations, réunissant entre 1.400 et 1.800 personnes selon la police, ont accompagné sa venue.

Des opposants au traité de Lisbonne brandissaient des pancartes demandant "Sarkozy, respectez le vote sur Lisbonne. Non c'est non", ou assurant "Le traité de Lisbonne est mort".

Plusieurs manifestants ont même brandi des pancartes affirmant "casse-toi pauvre con Sarkozy", en référence à l'invective lancée par le président français à un visiteur du salon de l'agriculture à Paris en février dernier.

Mais M. Sarkozy avait aussi ses partisans, qui représentaient à peu près la moitié des manifestants, avec les agriculteurs irlandais appréciant sa position de fermeté sur la question de la libéralisation du commerce mondial.

Le chef de la diplomatie française Bernard Kouchner, qui accompagne M. Sarkozy à Dublin, a assuré qu'il n'était pas dans les intentions françaises de bousculer l'Irlande.

"Nous allons là-bas (à Dublin) en tant que France présidente de l'Union européenne et non pas en tant que +France donneuse de leçons+. Nous écouterons chaque camp", a-t-il déclaré au quotidien britannique Times.

Se disant prêt à "écouter", le chef de l'Etat français avait pour sa part expliqué, dans une interview au quotidien Irish Times parue samedi, vouloir "comprendre" les raisons du "non" à 53% au référendum du 12 juin en Irlande.

M. Sarkozy avait auparavant suscité la colère en Irlande, en jugeant en début de semaine passée devant des députés de son parti que les "Irlandais devront revoter".

Aucune percée n'est attendue à l'occasion de cette visite, Dublin ayant besoin de temps pour réfléchir à une sortie de crise, selon des diplomates français et irlandais.

L'Irlande est le seul pays obligé, par sa Constitution, à soumettre le traité européen à référendum.

Les 26 autres pays de l'UE le soumettent à une ratification parlementaire.

Source: yahoo news

Arame Diène



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