
Il a fixé le cap, dans une série de dossiers économiques et sociaux, de la TVA sociale qu'il veut "expérimenter" aux franchises médicales, en passant par le pouvoir d'achat, les équilibres budgétaires ou les préretraites qu'il veut voir "disparaître" très vite.
"Tout ce que j'ai promis de changer, je le changerai, tout ce j'ai promis de réformer, je le réformerai", a-t-il dit. "C'est le mandat que nous avons reçu du peuple, c'est le mandat de la majorité présidentielle", a-t-il ajouté, répétant à chaque grand chapitre: "Je prendrai mes responsabilités".
M. Sarkozy a repris l'un des leitmotiv de la campagne présidentielle, la réhabilitation de la valeur travail.
"Tout ce qui récompense le travail sera choisi, tout ce qui dévalorise le travail sera écarté", qu'il s'agisse de politique sociale, éducative, économique, fiscale, de concurrence, commerciale, d'immigration, ou de la politique monétaire, a énuméré M. Sarkozy.
Le président de la République a estimé qu'il y avait en France "un problème de pouvoir d'achat", évoquant un "tabou" qu'il souhaite lever.
Il a annoncé que "dès la rentrée, une commission des sages, indépendants, sera créée pour donner son avis publiquement sur la revalorisation du Smic".
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