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France
01/02/2011 - 13:36

Karachi: Léotard lie l'attentat à l'arrêt des commissions et actus France

Karachi: Léotard lie l'attentat à l'arrêt des commissions - Toujours la confusion sur les primaires des écologistes - Le ministre renonce à la suppression des deux compagnies de CRS - La Fondation Abbé Pierre dénonce la politique du logement - Double meurtre près de Perpignan - Une série de mesures annoncées après la disparition de Laëtitia



Karachi: Léotard lie l'attentat à l'arrêt des commissions et actus France
Karachi: Léotard lie l'attentat à l'arrêt des commissions
L'ancien ministre de la Défense François Léotard, entendu lundi comme témoin dans le volet criminel de l'enquête sur l'attentat de Karachi, a établi un "lien possible" entre l'arrêt du versement des commissions et l'attentat qui a coûté la vie à 15 personnes dont 11 Français en mai 2002, a rapporté l'avocat des parties civiles, Me Olivier Morice, présent à l'audition. François Léotard, ministre de la Défense de 1993 à 1995 dans le gouvernement d'Edouard Balladur, a signé le contrat de vente pour 826 millions d'euros de trois sous-marins Agosta au Pakistan en 1994. Contrat qui a donné lieu aux versements de commissions d'un montant total de 10,25%, dont 4% à deux intermédiaires imposés en 1994 par le ministère de la Défense. Le versement des commissions a été interrompu en 1995 par le nouveau président de la République, Jacques Chirac. Un arrêt justifié par Dominique de Villepin par des soupçons de rétro-commissions. Entendu en novembre par le juge Renaud Van Ruymbeke, chargé du volet financier de l'affaire, l'ancien Premier ministre a fait part au juge de "convictions très fortes" que des "rétro-commissions" sur le contrat pakistanais avaient pu servir "à financer des partis politiques soutenant" l'ancien Premier ministre Edouard Balladur. François Léotard "considère que la décision qui a été prise par le président Jacques Chirac d'arrêter le versement des commissions a pu être en quelque sorte le détonateur de cet attentat", a déclaré l'avocat des parties civiles lundi à la presse. L'arrêt du versement de ces commissions serait, selon M. Léotard, "le résultat d'une guerre de trente ans qui existe au niveau de la droite", a-t-il ajouté. (AP)

Toujours la confusion sur les primaires des écologistes
Le calendrier des primaires d'Europe Ecologie-Les Verts pour 2012, pourtant voté le week-end dernier, sera rediscuté car le choix initial du début de l'été s'est fait dans la précipitation, a déclaré mardi Cécile Duflot. Plusieurs dirigeants écologistes considèrent en effet que le calendrier ne doit pas être figé si l'animateur de télévision Nicolas Hulot se décidait tardivement à concourir. Cécile Duflot, secrétaire nationale des Verts, a estimé sur LCI que le calendrier et les modalités d'organisation avaient été votés dimanche dernier "un peu dans la précipitation". Le vote du Conseil fédéral, le "parlement" du mouvement, a été acquis dans la confusion, un premier vote en faveur du mois de septembre étant annulé avant que la partie ne soit rejouée. Selon le second vote, le vainqueur du scrutin par correspondance sera déclaré le 24 juin ou, en cas de second tour, le 9 juillet, pour permettre aux écologistes d'être en ordre de marche pour la présidentielle avant l'été. Obligé de faire voter par deux fois sur la même question, le président du Conseil fédéral, Philippe Meirieu, avait exprimé son "infinie tristesse" face à cette "indiscipline collective et le spectacle pitoyable que nous avons donné". "On va faire en sorte que les gens qui n'avaient pas forcément les mêmes points de vue puissent discuter pour que, début avril, où on a notre prochain conseil fédéral, on puisse affiner le calendrier", a dit Cécile Duflot. L'ancienne magistrate Eva Joly est favorite de cette primaire. Le député de Paris Yves Cochet est pour l'instant son seul challenger. Mais les écologistes sont suspendus à l'éventuelle candidature de Nicolas Hulot, qui devrait dire en mars ou en avril s'il se lance à son tour dans la course. (Reuters)

Le ministre renonce à la suppression des deux compagnies de CRS
Le ministre de l'Intérieur Brice Hortefeux a renoncé lundi soir à la fermeture des deux compagnies de CRS de Lyon et de Marseille, au terme d'une réunion avec les syndicats de police, a-t-on appris mardi de sources syndicales. Le projet, qui devait être avalisé le 7 février prochain, suscitait depuis quelques jours un large mouvement de grogne chez les effectifs, manifesté par des arrêts maladie en cascade et le début de grèves de la faim. Ainsi la CRS 53 de Marseille-Saint-Barthélémy enregistrait dimanche 48 arrêts maladie. La CRS 54 de Marseille-Saint-Pierre, en déplacement à Paris, était en grève de la faim depuis samedi. La CRS 58 de Perpignan, comptait 74 arrêts maladie sur un effectif de 84. Elle avait refusé de venir pour assurer la sécurité du match Arles Avignon-PSG, Quant à la CRS 6 de Saint-Laurent-du-Var, qui a remplacé celle de Perpignan pour assurer la sécurité du match Arles Avignon-PSG, "elle a décidé de ne plus s'alimenter", expliquait David-Olivier Reverdy, le secrétaire régional d'Alliance-Police nationale. A Lyon, 90 CRS de Sainte-Foy-les-Lyon, soit 70% des effectifs de la compagnie, avaient décidé de manifester leur protestation contre le projet de fermeture de leur compagnie en présentant des arrêts maladie. Cette menace de suppression de postes intervenait à Marseille dans un contexte difficile depuis le mois de novembre avec une série de règlements de comptes, la mort par balles d'un adolescent de 16 ans, tandis qu'un enfant de 11 ans avait été grièvement blessé, une hausse des vols avec violences de 19% et une moyenne de 26 agressions par jour, comme l'a annoncé le procureur de la République Jacques Dallest. (AP)

La Fondation Abbé Pierre dénonce la politique du logement
"Une France de propriétaires, oui, mais qui en a les moyens ?" Tel est en substance le message de la Fondation Abbé Pierre, qui dénonce dans son rapport annuel le caractère "inégalitaire" de l'actuelle politique du logement. Dans un contexte de crise marqué par une montée de la précarité et la multiplication par deux des prix de l'immobilier en dix ans, inciter les Français à s'acheter un toit peut se révéler risqué, estime l'organisation. "La politique du 'tout accession' apparaît des plus discutables car soumise aux mécanismes spéculatifs des marchés, inadaptée aux budgets des ménages modestes et peu compatible avec la réalité de l'accession à la propriété", peut-on lire dans le 16e rapport annuel de la Fondation Abbé Pierre. Exemple donné d'une "politique budgétaire et financière qui prolonge les inégalités": le nouveau prêt à taux zéro (PTZ+) proposé sans conditions de ressources, dont le gouvernement espère qu'il contribuera à faire passer le taux de propriétaires en France de 58% à 70%, la moyenne européenne. "Permettre aux 20% de Français les plus riches d'accéder à ce prêt va coûter 480 millions d'euros à l'Etat", a déploré devant la presse Patrick Doutreligne, délégué général de la Fondation. "C'est un choix dogmatique qui touche à nos impôts." Sont aussi mises en avant les questions de surendettement, de clivages sociaux et d'environnement, à l'heure où la flambée des prix pousse de nombreux nouveaux propriétaires à se loger loin des centres-villes. La Fondation dénonce par ailleurs les mesures favorisant les expulsions contenues dans la Loi d'orientation et de programmation pour la performance de la sécurité intérieure, dite "Loppsi II", qui menace les plus modestes, parfois contraints de vivre dans des tentes, des caves ou des squats. (Reuters)

Double meurtre près de Perpignan
Les visages reconstitués d'un père et son fils retrouvés morts le 25 novembre 2010 à trois kilomètres de distance à Corneilla-la-Rivière et Millas (Pyrénées-Orientales) ont été diffusés lundi après-midi à l'occasion d'un appel à témoins lancé par la gendarmerie. Agés de 50 à 60 ans pour le plus âgé et de 35 à 40 ans pour son fils, les deux hommes roux avaient reçu des balles de 7.65 dans la tête dont les douilles avaient été retrouvées mystérieusement à côté de leurs cadavres. La comparaison de leur ADN avec les empreintes contenues dans le Fichier national automatisé des empreintes génétiques (Fnaeg) et celle de leurs empreintes digitales avec celles contenues dans le Fichier automatisé des empreintes digitales (Faed) s'est avérée négative. Ils n'ont toujours pas été identifiés. Ils avaient été retrouvés dans des tapis. Grâce au travail des spécialistes de l'Institut de recherches criminelles de la gendarmerie nationale (IRCGN), leurs visages ont pu être reconstitués. L'appel à témoin doit être diffusé au niveau international via Interpol. (AP)

Une série de mesures annoncées après la disparition de Laëtitia
Le gouvernement français a annoncé lundi la création d'un nouveau service de police et décidé de faire appel aux magistrats retraités après un crime pour lequel un homme ayant déjà connu la prison est suspecté. Les ministères de la Justice et de l'Intérieur estiment que les enquêtes menées sur la disparition près de Nantes de Laëtitia Perrais, 18 ans, montrent une série de fautes imputables à la justice et la police. "Les éléments relevés témoignent d'une défaillance de la chaîne pénale. Les sanctions qui s'imposent au regard des fautes seront demandées aux instances disciplinaires compétentes", écrivent-ils dans un communiqué. L'Union syndicale des magistrats a dit son "écoeurement", jugeant "inacceptable que le gouvernement se défausse de sa responsabilité sur les services de la justice et de la police pour masquer sa propre incurie". La CGT parle d'une "utilisation populiste" d'un fait divers. Le meurtre de Laëtitia Perrais, dont le corps n'a pas été retrouvé, est imputé à Tony Meilhon, mis en examen et écroué à Nantes depuis le 22 janvier. Cet homme déjà condamné 15 fois, sorti de prison après avoir purgé en intégralité ses peines depuis 1999, était en principe soumis à une "mise à l'épreuve" de deux ans prononcée dans le cadre de sa dernière condamnation pour outrage à magistrat. Ce suivi, qui l'obligeait à rechercher un emploi et à se soigner, n'a pas été appliqué, dans le cadre d'un accord écrit passé au printemps dernier entre les services de probation et la justice, et qui concernait environ 800 détenus. (Reuters)


Source : Yahoo Actualités


Ryma Mendy



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