Au total, 1.393 logements - 798 en Vendée et 595 en Charente-Maritime - situés en zones jugées d'"extrême danger" doivent être détruits dans les régions ravagées fin février.
Depuis cette annonce, de nombreuses manifestations d'habitants se sont organisées sur le littoral pour contester le tracé de ces "zones noires".
Certains riverains ont promis de poursuivre l'Etat en justice pour empêcher la destruction de leurs maisons.
"Naturellement il y a un principe: c'est que dans les 'zones noires', il est hors de question que les habitants puissent revenir s'y installer. C'est le principe de précaution qui est indispensable", a déclaré le ministre de l'Intérieur sur i>Télé.
Cependant, "il peut exister des situations individuelles précises, ponctuelles qui nécessitent un examen approfondi", a-t-il ajouté.
Source: Reuters via Yahoo
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