A l'heure où nous mettons en ligne, l'IRA ne semble pas dans le collimateur de Tony Blair et l'hypothèse n'a pas cours. Pour autant, les pertes humaines limitées pourraient faire penser que la volonté des terroristes était non seulement de semer la peur mais aussi de profiter d'un contexte international complexe et déstabilisé.
Dans ses diverses interventions, le premier ministre britannique, celui-là même qui, à l'intérieur obtient des résultats économiques, est atteint dans son image de marque internationale. L'influence britannique pourrait s'en trouver réduite, notamment au Moyen Orient.
Reste à savoir "à qui profite le crime".
Ci-dessous, quelques titres à lire et à commenter.
HV
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Dans ses diverses interventions, le premier ministre britannique, celui-là même qui, à l'intérieur obtient des résultats économiques, est atteint dans son image de marque internationale. L'influence britannique pourrait s'en trouver réduite, notamment au Moyen Orient.
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