Dans le conflit israélo-palestinien, la paix ne s'installe toujours pas et les miliciens, tout comme les groupuscules extrémistes, sont regardés comme des combattants patriotes par des partisans aveuglés par la haine et la soif de vengeance. Ce sont pourtant des criminels, des assassins de civils.
Aujourd'hui, un enfant de 18 mois est mort dans un incendie. Des extrémistes du camp adverse, des nationalistes, ont jeté des bombes incendiaires dans une maison où il dormait avec ses parents. L'année dernière, c'est de l'autre côté qu'un jeune homme avait péri lui aussi par le feu, à cause d'autres extrémistes. Et chaque jour, des milliers d'innocents périssent sous les coups d'autres extrémistes, des intégristes prétendument guidés par une religion, bien plus nombreux et bien plus violents, à qui l'on accordera peut-être le statut d’État pour les circonscrire derrière des frontières de papier.
Pourtant, les enjeux qui déterminent ces conflits sont bien souvent extérieurs, importés dans ces zones tout simplement parce que les États ou leurs gouvernements sont fragiles. Comment se fait-il que les peuples s'en saisissent?
Selon Reuters (Un bébé Palestinien tué, des extrémistes juifs soupçonnés), "les vitres de la maison, à Douma près de la ville de Naplouse, ont été brisées et des bombes incendiaires jetées à l'intérieur avant l'aube, alors que la famille dormait, ont rapporté l'armée et des témoins. Le mot "Vengeance", en hébreu, a été retrouvé sur les murs de la maison incendiée. Les parents du petit enfant et son frère âgé de quatre ans ont été gravement blessés et évacués par hélicoptère vers un hôpital israélien. Une deuxième maison du village a elle aussi été incendiée mais personne ne se trouvait à l'intérieur."
Aujourd'hui, un enfant de 18 mois est mort dans un incendie. Des extrémistes du camp adverse, des nationalistes, ont jeté des bombes incendiaires dans une maison où il dormait avec ses parents. L'année dernière, c'est de l'autre côté qu'un jeune homme avait péri lui aussi par le feu, à cause d'autres extrémistes. Et chaque jour, des milliers d'innocents périssent sous les coups d'autres extrémistes, des intégristes prétendument guidés par une religion, bien plus nombreux et bien plus violents, à qui l'on accordera peut-être le statut d’État pour les circonscrire derrière des frontières de papier.
Pourtant, les enjeux qui déterminent ces conflits sont bien souvent extérieurs, importés dans ces zones tout simplement parce que les États ou leurs gouvernements sont fragiles. Comment se fait-il que les peuples s'en saisissent?
Selon Reuters (Un bébé Palestinien tué, des extrémistes juifs soupçonnés), "les vitres de la maison, à Douma près de la ville de Naplouse, ont été brisées et des bombes incendiaires jetées à l'intérieur avant l'aube, alors que la famille dormait, ont rapporté l'armée et des témoins. Le mot "Vengeance", en hébreu, a été retrouvé sur les murs de la maison incendiée. Les parents du petit enfant et son frère âgé de quatre ans ont été gravement blessés et évacués par hélicoptère vers un hôpital israélien. Une deuxième maison du village a elle aussi été incendiée mais personne ne se trouvait à l'intérieur."
A lire également:
-
La Géorgie s'enflamme : le rêve européen attise les tensions
-
Donald Trump voit ses options en Ukraine
-
Restructuration massive chez Nissan : enjeux et perspectives
-
L'élection présidentielle américaine de 2024 : enjeux politiques et dynamiques entre Trump et Harris
-
Gérard Depardieu : L'Ombre du Scandale - Accusations et Procès