L'otage, qui est âgé de 32 ans et travaille pour Solidarité laïque, marchait dans la rue lorsque des hommes armés circulant en voiture l'avaient enlevé.
Ses ravisseurs ont diffusé des images le montrant avec le canon d'une arme pointée de chaque côté de la tête.
"Je souhaite me réjouir de la libération de Daniel Egreteau, notre compatriote qui était pris en otage en Afghanistan depuis le 3 novembre dernier", a déclaré le président français lors d'une table ronde sur la grande pauvreté à Compiègne (Oise).
"Je me réjouis de sa libération qui est intervenue il y a quelques minutes. Il va bien, sa famille est en train d'être prévenue. Il doit encore avoir quelques examens médicaux et nous le rapatrierons en France dès demain en fin de journée", a-t-il ajouté en félicitant "les services français et tous les militaires qui travaillent très courageusement là-bas".
Avant la table ronde, Nicolas Sarkozy avait brièvement interrompu une visite d'une banque alimentaire à Compiègne pour prendre une conversation téléphonique. "J'avais des nouvelles de l'Afghanistan. Nous avions engagé un certain nombre de choses", a-t-il expliqué en disant "aux autorités afghanes combien nous avons apprécié leur collaboration et leur efficacité".
Le ministère des Affaires étrangères n'a pas révélé dans l'immédiat les conditions de la libération de Dany Egreteau. Le chef de la diplomatie française, Bernard Kouchner, a remercié dans un communiqué "l'ensemble des services de l'État qui, à Paris et à Kaboul, se sont mobilisés sans relâche pour parvenir à ce dénouement heureux.
"Nous avons eu beaucoup de souci pour lui. Une photo particulièrement dramatique était sortie dans la presse", a souligné de son côté Nicolas Sarkozy.
Il faisait allusion à la vidéo dans laquelle l'otage français implorait secours et disait être enchaîné dans une petite pièce, les yeux bandés.
"Je ne peux pas bouger. C'est un cauchemar. Je vous en prie, payez l'argent (...). Faites vite. C'est un cauchemar ici. Je suis complètement dans le noir, jour et nuit, et je deviens complètement fou (....). Je ne vais pas pouvoir supporter ça longtemps", déclarait-il.
Des dizaines de ressortissants étrangers ont été enlevés ces deux dernières années en Afghanistan par les insurgés taliban ou des groupes crapuleux. La plupart de ces personnes ont été libérées saines et sauves mais certains rapts ont connu des dénouements tragiques.
Source: Yahoo News
Ses ravisseurs ont diffusé des images le montrant avec le canon d'une arme pointée de chaque côté de la tête.
"Je souhaite me réjouir de la libération de Daniel Egreteau, notre compatriote qui était pris en otage en Afghanistan depuis le 3 novembre dernier", a déclaré le président français lors d'une table ronde sur la grande pauvreté à Compiègne (Oise).
"Je me réjouis de sa libération qui est intervenue il y a quelques minutes. Il va bien, sa famille est en train d'être prévenue. Il doit encore avoir quelques examens médicaux et nous le rapatrierons en France dès demain en fin de journée", a-t-il ajouté en félicitant "les services français et tous les militaires qui travaillent très courageusement là-bas".
Avant la table ronde, Nicolas Sarkozy avait brièvement interrompu une visite d'une banque alimentaire à Compiègne pour prendre une conversation téléphonique. "J'avais des nouvelles de l'Afghanistan. Nous avions engagé un certain nombre de choses", a-t-il expliqué en disant "aux autorités afghanes combien nous avons apprécié leur collaboration et leur efficacité".
Le ministère des Affaires étrangères n'a pas révélé dans l'immédiat les conditions de la libération de Dany Egreteau. Le chef de la diplomatie française, Bernard Kouchner, a remercié dans un communiqué "l'ensemble des services de l'État qui, à Paris et à Kaboul, se sont mobilisés sans relâche pour parvenir à ce dénouement heureux.
"Nous avons eu beaucoup de souci pour lui. Une photo particulièrement dramatique était sortie dans la presse", a souligné de son côté Nicolas Sarkozy.
Il faisait allusion à la vidéo dans laquelle l'otage français implorait secours et disait être enchaîné dans une petite pièce, les yeux bandés.
"Je ne peux pas bouger. C'est un cauchemar. Je vous en prie, payez l'argent (...). Faites vite. C'est un cauchemar ici. Je suis complètement dans le noir, jour et nuit, et je deviens complètement fou (....). Je ne vais pas pouvoir supporter ça longtemps", déclarait-il.
Des dizaines de ressortissants étrangers ont été enlevés ces deux dernières années en Afghanistan par les insurgés taliban ou des groupes crapuleux. La plupart de ces personnes ont été libérées saines et sauves mais certains rapts ont connu des dénouements tragiques.
Source: Yahoo News
A lire également:
-
La RDC poursuit le Rwanda devant la Cour africaine des droits de l'homme et des peuples
-
Au Tchad comme au Sénégal, la présence militaire française prend fin
-
Des affrontements mortels lors d'un match de football en Guinée
-
Mali, Niger, Burkina Faso : vers des documents d'identité harmonisés
-
Gabon : Lancement de la campagne pour le référendum constitutionnel