Monde du fantastique

Les actualités sont nombreuses au détour d'un mois de septembre
qui s'annonce florissant pour votre revue de l'imaginaire. Septembre est
souvent synonyme de rentrée, de nouveautés et de bonnes résolutions.

Nouvelle équipe, nouveau projet. Black Mamba change de visage ! Charte
graphique plus élancée, plus interactive, plus graphique. Un lifting qui
le hisse au niveau des meilleures revues du genre. Déjà.
Nouveau défi, aussi, dans la périodicité de notre publication. Beaucoup de
lecteurs l'avaient constaté, Black Mamba souffrait d'une parution
aléatoire sous la forme bimestrielle. Dans l'impossibilité de tenir un
cahier des charges et des délais raisonnables, nous avons décidé de
glisser en trimestriel. Quatre numéros par an donc pour chaque saison de
l'année. Nous espérons par ce biais une marche de manouvre plus souple qui permettra de vous offrir votre revue en temps dit. Et que les abonnés se
rassurent, rien ne changera dans leur commande. L'attente sera juste un peu plus étendue.Et en parlant d'allongement, justement, Black Mamba opus 4 offrira 8 pages supplémentaires à ses nombreux lecteurs. 76 pages au lieu de 68 au même prix de 4,50? et la garantie d'un contenu diversifié et de qualité !

Au sommaire, quatre nouvelles de valeurs montantes de l'édition pulp vous seront proposées dans ce numéro au parfum d'exotisme :Jonas Lenn embrayera par un texte d'aventure au pays du soleil levant, La Reine des fourmis, suivi par la plume provocatrice d'Eric Girold, l'auteur de Métamorphoses qui revient avec Balade sentimentale, une « road-story » des plus imprévisibles. Côté SF, J.P Laigle, une grande connaissance des amateurs de science fiction, nous propose avec le Chat de Tchernobyl une radieuse nouvelle d'anticipation. On finira le coin des nouvelles par un texte qui va faire grand bruit : Concerto Résurrection du talentueux Karim Berrouka. Nous espérons que vous lirez ses lignes avec autant de plaisir que la rédaction.

Mais Black Mamba c'est aussi la bande dessinée avec pour ce numéro trois courts one shot. De la qualité graphique au rendez-vous, comme toujours et des scénarios qui vous feront tour à tour réfléchir, frémir ou vous détendre.
Eric Henninot avec Ensevelir les mots philosophera sur le thème nature contre culture. Just like a movie d'Olivier Rocher qui est à lire comme on sifflerait un tube de Tricky. Enfin, avec Tierce Mineure, Damien Venzi et Hepken dessinent un thriller psychologique qui vous tiendra en haleine jusqu'au final déroutant.

Pour achever ce tour d'horizon de votre nouveau Black Mamba par une touche ludique, outre nos habituelles chroniques, nous vous offrons un gros dossier sur l'Heroic fantasy au cinéma : des ardues prémisses aux succès d'estime de ce genre si particulier du merveilleux. Notre premier Zoom sur. vous fera découvrir une maison d'édition incontournable pour tous les amateurs de fantastique classique, La Clef d'Argent suivi d'une interview consacrée à un auteur de SF qui ne pratique pas la langue de bois, Laurent Whale venu nous parler avec humour de son métier d'auteur.

Bonne lecture et vive le Pulp !
Infos Black Mamba sur : www.blackmamba.fr