Une délégation algérienne qui s'est rendue récemment à Guantanamo a confirmé que 17 Algériens y étaient détenus, a précisé le ministre.
"Si ces Algériens veulent rentrer au pays, ils seront les bienvenus", a indiqué Belaïz, ajoutant que ceux qui sont poursuivis en Algérie seraient jugés "selon le code pénal algérien".
Dans les années 1980, des centaines d'islamistes algériens avaient gagné l'Afghanistan pour combattre l'occupation soviétique, avant de s'engager durant la décennie suivante dans le réseau connu aujourd'hui sous le nom d'Al Qaïda.
Certains étaient revenus se joindre en Algérie à la sanglante insurrection islamiste des années 1990. Ce soulèvement est retombé au cours des dernières années, mais des groupes extrémistes commettent encore des attentats suicides en milieu urbain.
Un double attentat, revendiqué par la branche nord-africaine d'Al Qaïda, a fait au moins 41 morts le 11 décembre à Alger.
Mercredi dernier, le secrétaire d'Etat adjoint américain David Welch avait laissé entendre que les Etats-Unis et l'Algérie pourraient "bientôt" signer un accord sur le rapatriement des ressortissants algériens détenus en tant qu'"ennemis combattants" dans le camp de Guantanamo.
Toutefois, Belaïz n'a pas confirmé la conclusion éventuelle d'un tel accord de rapatriement, se bornant à indiquer qu'il s'agissait actuellement d'une "simple demande" de Washington.
Les 17 Algériens figurent parmi quelque 275 prisonniers encore détenus sans statut légal sur la base américaine de l'île de Cuba, que le président George Bush a présentée comme un outil nécessaire dans la guerre mondiale contre le terrorisme.
Selon les autorités américaines, certains pays ne veulent pas reprendre leurs ressortissants détenus à Guantanamo, d'autres refusent les garanties de sécurité exigées par Washington pour leur rapatriement, et d'autres encore ne fournissent pas la garantie de les traiter humainement.
yahoo.com
"Si ces Algériens veulent rentrer au pays, ils seront les bienvenus", a indiqué Belaïz, ajoutant que ceux qui sont poursuivis en Algérie seraient jugés "selon le code pénal algérien".
Dans les années 1980, des centaines d'islamistes algériens avaient gagné l'Afghanistan pour combattre l'occupation soviétique, avant de s'engager durant la décennie suivante dans le réseau connu aujourd'hui sous le nom d'Al Qaïda.
Certains étaient revenus se joindre en Algérie à la sanglante insurrection islamiste des années 1990. Ce soulèvement est retombé au cours des dernières années, mais des groupes extrémistes commettent encore des attentats suicides en milieu urbain.
Un double attentat, revendiqué par la branche nord-africaine d'Al Qaïda, a fait au moins 41 morts le 11 décembre à Alger.
Mercredi dernier, le secrétaire d'Etat adjoint américain David Welch avait laissé entendre que les Etats-Unis et l'Algérie pourraient "bientôt" signer un accord sur le rapatriement des ressortissants algériens détenus en tant qu'"ennemis combattants" dans le camp de Guantanamo.
Toutefois, Belaïz n'a pas confirmé la conclusion éventuelle d'un tel accord de rapatriement, se bornant à indiquer qu'il s'agissait actuellement d'une "simple demande" de Washington.
Les 17 Algériens figurent parmi quelque 275 prisonniers encore détenus sans statut légal sur la base américaine de l'île de Cuba, que le président George Bush a présentée comme un outil nécessaire dans la guerre mondiale contre le terrorisme.
Selon les autorités américaines, certains pays ne veulent pas reprendre leurs ressortissants détenus à Guantanamo, d'autres refusent les garanties de sécurité exigées par Washington pour leur rapatriement, et d'autres encore ne fournissent pas la garantie de les traiter humainement.
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