
Notre revue de presse santé du 25 Août 2011
Grossesse et cannabis: risques de cancers de l'enfance?
D'une manière générale, il ne semble "pas exister de risque malformatif propre au cannabis seul", expliquent-ils. Pas plus que d'une augmentation – à ce stade - du risque de mort subite chez les nourrissons exposés in utero au cannabis. De nombreux syndromes de sevrage ont en revanche été observés, chez des nouveau-nés dont la mère avait fumé du cannabis en cours de grossesse. Encore plus inquiétant, deux travaux récents laissent planer des doutes sur le risque de voir apparaître des cancers (neuroblastome, leucémie aiguë…) durant l'enfance. Voilà donc d'excellentes raisons pour "recommander aux femmes d'arrêter ou au moins de réduire leur consommation en cas de grossesse", concluent les auteurs de cet article. "A condition bien sûr de ne pas passer à d'autres substances tératogènes ou foetotoxiques" (www.destinationsante.com) Après on se demande pourquoi tant d'enfants "tournent mal"!
Médicaments à base de plantes: encore du ménage à faire
Plus de neuf produits sur dix n'étaient pas autorisés à la vente et ne fournissaient aucune information sur leur sécurité d'emploi. La moitié était vendue en tant que complément alimentaire. Seulement 13% comportaient une notice, et dont trois seulement évoquaient des informations relatives à leur sécurité. Theo Raynor conseille donc aux consommateurs, de vérifier systématiquement la présence de la mention «Médicaments traditionnels à base de plantes». «Cela signifie que le produit a été autorisé à la vente». Il n'est pas inutile non plus de rappeler qu'il en est de même en France, harmonisation européenne oblige. (www.destinationsante.com)
Mediator: Servier veut faire payer les médecins
Les laboratoires Servier ne se laisseront pas faire. Selon Libération, le fabricant du Mediator, à l'origine du scandale sanitaire de l'année, veut poursuivre les médecins qui ont prescrit cet antidiabétique comme coupe-faim. Le médicament aurait, en effet, été prescrit à mauvais escient dans 77% des cas, selon une étude de l'Agence française du médicament (Afssaps) publiée le 8 août dernier. (www.lexpress.fr)
Source: Yahoo News
Référencement Internet et création de sites Web ICI
D'une manière générale, il ne semble "pas exister de risque malformatif propre au cannabis seul", expliquent-ils. Pas plus que d'une augmentation – à ce stade - du risque de mort subite chez les nourrissons exposés in utero au cannabis. De nombreux syndromes de sevrage ont en revanche été observés, chez des nouveau-nés dont la mère avait fumé du cannabis en cours de grossesse. Encore plus inquiétant, deux travaux récents laissent planer des doutes sur le risque de voir apparaître des cancers (neuroblastome, leucémie aiguë…) durant l'enfance. Voilà donc d'excellentes raisons pour "recommander aux femmes d'arrêter ou au moins de réduire leur consommation en cas de grossesse", concluent les auteurs de cet article. "A condition bien sûr de ne pas passer à d'autres substances tératogènes ou foetotoxiques" (www.destinationsante.com) Après on se demande pourquoi tant d'enfants "tournent mal"!
Médicaments à base de plantes: encore du ménage à faire
Plus de neuf produits sur dix n'étaient pas autorisés à la vente et ne fournissaient aucune information sur leur sécurité d'emploi. La moitié était vendue en tant que complément alimentaire. Seulement 13% comportaient une notice, et dont trois seulement évoquaient des informations relatives à leur sécurité. Theo Raynor conseille donc aux consommateurs, de vérifier systématiquement la présence de la mention «Médicaments traditionnels à base de plantes». «Cela signifie que le produit a été autorisé à la vente». Il n'est pas inutile non plus de rappeler qu'il en est de même en France, harmonisation européenne oblige. (www.destinationsante.com)
Mediator: Servier veut faire payer les médecins
Les laboratoires Servier ne se laisseront pas faire. Selon Libération, le fabricant du Mediator, à l'origine du scandale sanitaire de l'année, veut poursuivre les médecins qui ont prescrit cet antidiabétique comme coupe-faim. Le médicament aurait, en effet, été prescrit à mauvais escient dans 77% des cas, selon une étude de l'Agence française du médicament (Afssaps) publiée le 8 août dernier. (www.lexpress.fr)
Source: Yahoo News
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