Le secrétaire d'Etat chargé des Transports, Dominique Bussereau, a déclaré mardi sur RMC que "toutes les solutions étaient possibles" concernant l'aide pour les salariés confrontés au coût élevé de leur trajet domicile-travail.
Interrogé sur les salariés contraints d'utiliser leur voiture, M. Bussereau a estimé que "c'est la vraie difficulté". "Nous voulons privilégier le transport public", a-t-il insisté, ce qui n'implique "pas forcément aider au plein d'essence".
"Ceci étant, s'il n'y a pas d'autres solutions on va quand même regarder ce que l'on peut faire", a concédé M. Bussereau. "On peut trouver un système de remboursement, de tickets, etc", a-t-il dit.
M. Bussereau a estimé que la hausse du prix des carburants touche "de plein fouet" particulièrement "le jeune couple qui habite à 30 ou 40 kilomètres d'une ville". Le ministre propose par conséquent de "relancer le réseau d'autocars" dans les zones rurales. "Il faut que nous ayons pour desservir cette ruralité ces bons vieux réseaux d'autocars qui avaient disparu il y a vingt ou trente ans", a indiqué M. Bussereau.
"Ce sont les départements qui vont se lancer là dedans", selon le ministre, qui a précisé qu'il allait le mettre en place dans son département "en Charente-Maritime à partir du 1er juillet"..Le Premier ministre, François Fillon, a annoncé le 12 juin une "aide directe" pour les salariés confrontés au coût élevé de leur trajet domicile-travail, "sur la feuille de paye du salarié". L'Etat, de son côté, compensera les frais pour l'entreprise en lui apportant une "aide fiscale", a précisé le Premier ministre.
Les modalités restent à définir. Le Premier ministre a demandé que les partenaires sociaux se réunissent pour décider de ses "conditions d'application". M. Fillon a souhaité que ce dispositif "encourage les transports en commun, et qu'il ne soit une aide au plein d'essence que lorsqu'il n'y a pas d'autre solution".
Source: news.yahoo.com
Interrogé sur les salariés contraints d'utiliser leur voiture, M. Bussereau a estimé que "c'est la vraie difficulté". "Nous voulons privilégier le transport public", a-t-il insisté, ce qui n'implique "pas forcément aider au plein d'essence".
"Ceci étant, s'il n'y a pas d'autres solutions on va quand même regarder ce que l'on peut faire", a concédé M. Bussereau. "On peut trouver un système de remboursement, de tickets, etc", a-t-il dit.
M. Bussereau a estimé que la hausse du prix des carburants touche "de plein fouet" particulièrement "le jeune couple qui habite à 30 ou 40 kilomètres d'une ville". Le ministre propose par conséquent de "relancer le réseau d'autocars" dans les zones rurales. "Il faut que nous ayons pour desservir cette ruralité ces bons vieux réseaux d'autocars qui avaient disparu il y a vingt ou trente ans", a indiqué M. Bussereau.
"Ce sont les départements qui vont se lancer là dedans", selon le ministre, qui a précisé qu'il allait le mettre en place dans son département "en Charente-Maritime à partir du 1er juillet"..Le Premier ministre, François Fillon, a annoncé le 12 juin une "aide directe" pour les salariés confrontés au coût élevé de leur trajet domicile-travail, "sur la feuille de paye du salarié". L'Etat, de son côté, compensera les frais pour l'entreprise en lui apportant une "aide fiscale", a précisé le Premier ministre.
Les modalités restent à définir. Le Premier ministre a demandé que les partenaires sociaux se réunissent pour décider de ses "conditions d'application". M. Fillon a souhaité que ce dispositif "encourage les transports en commun, et qu'il ne soit une aide au plein d'essence que lorsqu'il n'y a pas d'autre solution".
Source: news.yahoo.com
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