
Les deux hommes ont eu à l'Elysée "une très longue discussion" soulignant leur "vision différente des choses", a-t-on rapporté dans l'entourage du président français.
M. Sarkozy a répété qu'il ne veut pas l'intégration d'un nouveau pays qui serait le plus peuplé dans l'Europe, et son refus de créer un précédent qui pourrait inciter d'autres pays, tels que l'Ukraine ou les pays du Maghreb, à souhaiter entrer dans l'UE. Il a également rappelé sa position en faveur d'une association de l'UE avec la Turquie, et de la poursuite des négociations avec Ankara.
M. Topolanek, a-t-on assuré de même source, a "admis que ce n'est peut-être pas la solution d'accueillir la Turquie dans l'UE, mais que l'on ne peut pas non plus la rejeter".
Le chef du gouvernement tchèque, s'exprimant brièvement à la sortie de son entretien de 50 minutes avec M. Sarkozy, a évoqué sans plus de détails "un entretien extrêmement intense, ouvert et franc". Il n'a pas mentionné la question de la Turquie.
MM. Sarkozy et Topolanek ont trouvé en revanche un terrain d'entente sur leur volonté commune de "remettre la politique et les grands enjeux au centre de la politique européenne", a-t-on indiqué à l'Elysée.
Prague approuverait notamment la proposition française de créer un groupe de Sages sur l'avenir de l'Union européenne et les grands objectifs politiques que doivent s'assigner les 27.
M. Sarkozy a répété qu'il ne veut pas l'intégration d'un nouveau pays qui serait le plus peuplé dans l'Europe, et son refus de créer un précédent qui pourrait inciter d'autres pays, tels que l'Ukraine ou les pays du Maghreb, à souhaiter entrer dans l'UE. Il a également rappelé sa position en faveur d'une association de l'UE avec la Turquie, et de la poursuite des négociations avec Ankara.
M. Topolanek, a-t-on assuré de même source, a "admis que ce n'est peut-être pas la solution d'accueillir la Turquie dans l'UE, mais que l'on ne peut pas non plus la rejeter".
Le chef du gouvernement tchèque, s'exprimant brièvement à la sortie de son entretien de 50 minutes avec M. Sarkozy, a évoqué sans plus de détails "un entretien extrêmement intense, ouvert et franc". Il n'a pas mentionné la question de la Turquie.
MM. Sarkozy et Topolanek ont trouvé en revanche un terrain d'entente sur leur volonté commune de "remettre la politique et les grands enjeux au centre de la politique européenne", a-t-on indiqué à l'Elysée.
Prague approuverait notamment la proposition française de créer un groupe de Sages sur l'avenir de l'Union européenne et les grands objectifs politiques que doivent s'assigner les 27.
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