"Le développement de la science moderne a confiné toujours plus la foi et l'espérance dans la sphère privée et individuelle de sorte qu'il apparaît aujourd'hui de manière évidente, et parfois dramatique, que l'homme et le monde ont besoin de Dieu, du vrai Dieu, sans lequel ils restent privés de l'espérance", a-t-il dit au cours de la prière dominicale de l'Angélus.
Le pape reprenait le thème de sa deuxième encyclique, "Spe salvi" (sauvés par l'espérance) qu'il a rendue publique il y a deux jours à peine. Il l'a d'ailleurs souligné devant les milliers de fidèles réunis place Saint-Pierre au Vatican, affirmant que "ce dimanche (le premier de l'Avent, ndlr) est une bonne journée pour offrir à toute l'Eglise et à tous les hommes de bonne volonté ma deuxième encyclique".
L'Avent est la période entre le quatrième dimanche avant Noël et Noël pendant laquelle on prépare cette fête.
"La science contribue beaucoup au bien de l'humanité mais elle n'est pas en mesure de la racheter", a poursuivi le pape.
"L'homme est racheté par l'amour qui rend bonne et belle la vie personnelle et sociale. C'est pourquoi la grande espérance, celle pleine et définitive, est garantie par Dieu", a-t-il conclu.
Le pape reprenait le thème de sa deuxième encyclique, "Spe salvi" (sauvés par l'espérance) qu'il a rendue publique il y a deux jours à peine. Il l'a d'ailleurs souligné devant les milliers de fidèles réunis place Saint-Pierre au Vatican, affirmant que "ce dimanche (le premier de l'Avent, ndlr) est une bonne journée pour offrir à toute l'Eglise et à tous les hommes de bonne volonté ma deuxième encyclique".
L'Avent est la période entre le quatrième dimanche avant Noël et Noël pendant laquelle on prépare cette fête.
"La science contribue beaucoup au bien de l'humanité mais elle n'est pas en mesure de la racheter", a poursuivi le pape.
"L'homme est racheté par l'amour qui rend bonne et belle la vie personnelle et sociale. C'est pourquoi la grande espérance, celle pleine et définitive, est garantie par Dieu", a-t-il conclu.