
Les deux thèses. Au terme d'une enquête technique menée par le Bureau d'enquêtes et d'analyses (BEA) et d'une information judiciaire instruite au tribunal de Pontoise, experts, enquêteurs et magistrats ont reconstitué un scénario d'accident qui met en cause un autre appareil, un DC10 de la compagnie Continental Airlines, qui avait décollé juste avant le Concorde. Une lamelle en titane se serait détachée de la carlingue du DC 10 après avoir quitté la piste. Une 'véritable lame de rasoir', disent les experts, qui aurait éclaté l'un des pneumatiques du supersonique. L'éclatement aurait provoqué une onde de choc, détruisant une partie du réservoir et provoquant une fuite de carburant, lequel se serait enflammé.
Continental Airlines défend un scénario différent : selon la compagnie, le supersonique avait pris feu avant même de rouler sur cette pièce.
Source: Lemonde.fr via Yahoo
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