L'aide de l'Italie "est très importante pour nous" a déclaré Barack Obama.
Projetant de fermer le centre de détention au début de l'année qui vient, Barack Obama compte sur le soutien des pays étrangers et de quelques communautés aux Etats-Unis pour accueillir les libérés qui ne pourraient pas retourner dans leur pays sans risque.
Dix prisonniers ont déjà pu quitter Cuba la semaine dernière, en partance l'un pour New York, où il doit être jugé, les autres vers le Tchad, l'Irak, l'Arabie Saoudite ou les Bermudes. Palau, une petite île du Pacifique au larges des Philippines, va elle accepter 13 musulmans ouïgours, que la Chine réclame.
Au mois de mai, le chef de la diplomatie italienne Franco Frattini avait déclaré que Rome examinait une demande des Etats-Unis concernant l'accueil de deux Tunisiens détenus sur la base militaire de Guantanamo à Cuba.
L'Union européenne a accepté lundi d'aider le président américain à "tourner la page" de Guantanamo, ouverte par son prédécesseur George W. Bush. Dans une déclaration commune, Bruxelles et Washington ont noté que certains pays seraient "prêts à assister (les Etats-Unis) dans l'accueil de certains ex-détenus, au cas par cas".
"Cela nous donne une occasion de créer un réseau international durable pour affronter le terrorisme qui je crois est important des deux côtés de l'Atlantique" a estimé le président américain.
Par ailleurs, la rencontre est perçue comme un moyen pour le chef de gouvernement italien de redorer son image ternie par une série de scandales. Obama offre l'image d'un politicien vertueux, à l'image familiale exemplaire, tout le contraire de Silvio Berlusconi.
Source: Associated Presse via Yahoo News
Projetant de fermer le centre de détention au début de l'année qui vient, Barack Obama compte sur le soutien des pays étrangers et de quelques communautés aux Etats-Unis pour accueillir les libérés qui ne pourraient pas retourner dans leur pays sans risque.
Dix prisonniers ont déjà pu quitter Cuba la semaine dernière, en partance l'un pour New York, où il doit être jugé, les autres vers le Tchad, l'Irak, l'Arabie Saoudite ou les Bermudes. Palau, une petite île du Pacifique au larges des Philippines, va elle accepter 13 musulmans ouïgours, que la Chine réclame.
Au mois de mai, le chef de la diplomatie italienne Franco Frattini avait déclaré que Rome examinait une demande des Etats-Unis concernant l'accueil de deux Tunisiens détenus sur la base militaire de Guantanamo à Cuba.
L'Union européenne a accepté lundi d'aider le président américain à "tourner la page" de Guantanamo, ouverte par son prédécesseur George W. Bush. Dans une déclaration commune, Bruxelles et Washington ont noté que certains pays seraient "prêts à assister (les Etats-Unis) dans l'accueil de certains ex-détenus, au cas par cas".
"Cela nous donne une occasion de créer un réseau international durable pour affronter le terrorisme qui je crois est important des deux côtés de l'Atlantique" a estimé le président américain.
Par ailleurs, la rencontre est perçue comme un moyen pour le chef de gouvernement italien de redorer son image ternie par une série de scandales. Obama offre l'image d'un politicien vertueux, à l'image familiale exemplaire, tout le contraire de Silvio Berlusconi.
Source: Associated Presse via Yahoo News
A lire également:
-
Augmentation des recherches pour quitter les États-Unis après la réélection de Trump
-
Donald Trump élu 47e Président des États-Unis : Retour historique à la Maison-Blanche
-
2024 : Un Combat pour l'Âme de l'Amérique - Trump contre Harris
-
Cuba plongée dans l’obscurité après l’arrêt de sa principale centrale thermique
-
Kamala Harris et la convention démocrate 2024