Pour sa sixième participation consécutive à ce stade de la compétition, le septuple champion de France n'est en effet pas gâté par le tirage au sort, puisque la meilleure équipe d'Europe du moment se profile à l'horizon.
Impressionnant leader du championnat d'Espagne, même après un faux pas devant son voisin l'Espanyol de Barcelone lors de la dernière journée (défaite 1-2), le Barça de Samuel Eto'o, Thierry Henry ou encore Lionel Messi est donné largement favori.
"Il s'agit a priori d'un match facile pour le Barça", analyse Jean-Michel Aulas, le président de Lyon. "Sur le papier, c'est probablement le meilleur club du monde."
Mais immédiatement, le tempérament de compétiteurs des Lyonnais ressurgit.
Juninho, membre de l'équipe du Brésil lors de la Coupe du Monde en Allemagne se souvient : "La dernière fois qu'on a été catalogués comme favoris, c'était à la Coupe du Monde 2006 et on sait comment cela s'est fini..." Par une élimination surprise face à la France en quart de finale.
"Il ne faut pas oublier que la seconde partie de la Ligue des champions est différente de la première", dit le Brésilien. "Ils auront de plus la pression car ils doivent confirmer leur statut. Et s'ils font un mauvais match..."
Alors, Jean-Michel Aulas veut y croire.
"J'ai confiance en Claude Puel et en son groupe. Il est parfois plus facile d'être challenger. Personne ne viendra nous reprocher une élimination", souligne-t-il.
"Et si on se qualifie, ça donnera à Lyon et à la France une dimension formidable. Tout ce que nous construisons depuis 20 ans nous sert à gagner ce type de matches."
Lyon n'est pas favori et devra changer ses habitudes européennes. L'OL n'a jamais gagné contre Barcelone en quatre confrontations, avec trois défaites et un match nul (2-0 et 2-3 en 2001, puis 3-0 et 2-2 en 2008).
Et l'OL n'a jamais battu un grand d'Europe lors des phases à élimination directe, à l'image de la chute des Lyonnais à ce même stade de l'épreuve il y a un an face au futur vainqueur, Manchester United (1-1 puis 1-0).
La question est de savoir comment enrayer la machine catalane qui marque à chaque match.
"Mais c'est sur le terrain que cela va se décider", tranche Juninho.
"On aura 90 minutes pour faire la différence. Si cela se passe comme le Barça l'a décidé, alors ce sera dur. Mais si on joue à notre meilleur niveau, on peut rivaliser voire gagner car on a déjà réalisé de bonnes performances contre des grandes équipes européennes. Nous allons essayer d'être bien en place. Cela va beaucoup dépendre de nos attaquants : on compte beaucoup sur eux."
Barcelone reste sur une défaite à domicile devant son voisin, l'Espanyol, mais cela ne change rien à l'approche des Lyonnais, qui eux restent sur trois succès consécutifs en Ligue 1 et sont invaincus depuis 11 matches.
"En ce moment, nous sommes en confiance. Nous sommes plus à l'aise mais Barcelone reste une grande équipe. Ils ont joué un derby et c'est toujours chaud", note Cris.
"J'ai regardé le match, il y a eu 13 cartons jaunes et un rouge. Contre nous, ce sera totalement différent. Ce sera la Champion's League. Tout le monde rêve de la Coupe d'Europe. On s'attend à un match difficile. Ils vont venir ici pour faire un résultat positif."
Pour cette rencontre, Claude Puel pourra compter sur le retour de John Mensah, après sa mauvaise semaine consécutive aux insultes racistes proférées à son encontre dans la match de Ligue 1 face au Havre il y a dix jours.
Mais il sera toujours privé d'Anthony Réveillère (genou), Fred (en instance de départ), François Clerc (fin de rééducation), Sidney Govou (tendon d'achille) et Mathieu Bodmer (adducteurs).
Source: Yahoo News
Impressionnant leader du championnat d'Espagne, même après un faux pas devant son voisin l'Espanyol de Barcelone lors de la dernière journée (défaite 1-2), le Barça de Samuel Eto'o, Thierry Henry ou encore Lionel Messi est donné largement favori.
"Il s'agit a priori d'un match facile pour le Barça", analyse Jean-Michel Aulas, le président de Lyon. "Sur le papier, c'est probablement le meilleur club du monde."
Mais immédiatement, le tempérament de compétiteurs des Lyonnais ressurgit.
Juninho, membre de l'équipe du Brésil lors de la Coupe du Monde en Allemagne se souvient : "La dernière fois qu'on a été catalogués comme favoris, c'était à la Coupe du Monde 2006 et on sait comment cela s'est fini..." Par une élimination surprise face à la France en quart de finale.
"Il ne faut pas oublier que la seconde partie de la Ligue des champions est différente de la première", dit le Brésilien. "Ils auront de plus la pression car ils doivent confirmer leur statut. Et s'ils font un mauvais match..."
Alors, Jean-Michel Aulas veut y croire.
"J'ai confiance en Claude Puel et en son groupe. Il est parfois plus facile d'être challenger. Personne ne viendra nous reprocher une élimination", souligne-t-il.
"Et si on se qualifie, ça donnera à Lyon et à la France une dimension formidable. Tout ce que nous construisons depuis 20 ans nous sert à gagner ce type de matches."
Lyon n'est pas favori et devra changer ses habitudes européennes. L'OL n'a jamais gagné contre Barcelone en quatre confrontations, avec trois défaites et un match nul (2-0 et 2-3 en 2001, puis 3-0 et 2-2 en 2008).
Et l'OL n'a jamais battu un grand d'Europe lors des phases à élimination directe, à l'image de la chute des Lyonnais à ce même stade de l'épreuve il y a un an face au futur vainqueur, Manchester United (1-1 puis 1-0).
La question est de savoir comment enrayer la machine catalane qui marque à chaque match.
"Mais c'est sur le terrain que cela va se décider", tranche Juninho.
"On aura 90 minutes pour faire la différence. Si cela se passe comme le Barça l'a décidé, alors ce sera dur. Mais si on joue à notre meilleur niveau, on peut rivaliser voire gagner car on a déjà réalisé de bonnes performances contre des grandes équipes européennes. Nous allons essayer d'être bien en place. Cela va beaucoup dépendre de nos attaquants : on compte beaucoup sur eux."
Barcelone reste sur une défaite à domicile devant son voisin, l'Espanyol, mais cela ne change rien à l'approche des Lyonnais, qui eux restent sur trois succès consécutifs en Ligue 1 et sont invaincus depuis 11 matches.
"En ce moment, nous sommes en confiance. Nous sommes plus à l'aise mais Barcelone reste une grande équipe. Ils ont joué un derby et c'est toujours chaud", note Cris.
"J'ai regardé le match, il y a eu 13 cartons jaunes et un rouge. Contre nous, ce sera totalement différent. Ce sera la Champion's League. Tout le monde rêve de la Coupe d'Europe. On s'attend à un match difficile. Ils vont venir ici pour faire un résultat positif."
Pour cette rencontre, Claude Puel pourra compter sur le retour de John Mensah, après sa mauvaise semaine consécutive aux insultes racistes proférées à son encontre dans la match de Ligue 1 face au Havre il y a dix jours.
Mais il sera toujours privé d'Anthony Réveillère (genou), Fred (en instance de départ), François Clerc (fin de rééducation), Sidney Govou (tendon d'achille) et Mathieu Bodmer (adducteurs).
Source: Yahoo News
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