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28/06/2010 - 13:11

Sport: La Fifa refuse de parler

Sport: La Fifa refuse de parler - Pubs prémonitoires pour élimination subliminale - Le bleu Espagne.



Sport: La Fifa refuse de parler
Pubs prémonitoires pour élimination subliminale
Aujourd'hui, Thomas Séraphine, membre d'Action discrète sur Canal Plus, démontre brillamment comment la débâcle synonyme d'élimination pour l'équipe de France était prévisible à condition de savoir lire entre les images de pub. Inconsciemment ou pas, les annonceurs et publicitaires avaient prévu la débâcle de l'équipe de France pendant cette Coupe du monde. Si, si! Les spots de pubs mettant en scène l'image de nos Bleus diffusaient de manière symbolique des signes annonciateurs d'une infaillible défaite. Décryptage. GDF tout d'abord nous avait offert un spot énigmatique, voire angoissant mettant en scène de façon lynchienne les coulisses d'un pressing où l'air vaporeux comme une nappe de brouillard mortifère laissait entrevoir des maillots sans corps, flottant comme des ombres fantomatiques sur un fond musical en guise d'oraison funéraire, Blue Velvet, aux paroles pour le moins anxiogène: «She wore blue, velvet, bluer than the velvet was the night».(liberation)

La Fifa refuse de parler de l'arbitrage
Circulez, il n'y a rien à voir. Alors que le monde du foot ne parle que but injustement refusé à Franck Lampard et du hors-jeu qui entache l'ouverture du score argentine contre le Mexique, la Fifa préfère botter en touche. «Nous n'ouvrirons pas le débat sur l'arbitrage au point-presse quotidien», a prévenu d'entrée son porte-parole, Nicolas Maingot. Interrogé à de multiples reprises sur les «erreurs des arbitres», le «non recours à la vidéo» ou «la honte que devait ressentir la Fifa», Maingot a martelé que le sujet ne serait pas évoqué. En revanche, il a condamné la diffusion des images du premier but de l'Argentine ur les écrans géants du stade de Soccer city dimanche à Johannesburg dimanche.(20minutes)

Le bleu Espagne
J'étais vendredi soir devant le JT de TF1 à attendre la rencontre Chili-Espagne, quand soudain apparaît Abidal, habillé dans un costard trop grand, débarqué à Lyon pour voir sa famille, prêt à passer à confesse et à être pardonné en direct. J'ouvre une boîte de Pringles - ces hosties aux fines herbes qui vont si bien avec la bière - et j'attends. Pourtant le miracle n'a pas lieu et l'interview est à l'image de cette Coupe du monde pour les Français, pleine d'interférences, de problèmes de liaison et d'incompréhensions. Claire Chazal (ou Laurence Ferrari, je n'arrive jamais à les reconnaître): «Est-ce que vous regrettez la décision de ne pas vous être entraîné?... Abidal: hein? Puis plus tard: Quoi, je n'ai rien entendu. Puis noir de quelques secondes. Puis déballage de platitudes grésillantes. Puis: Est-ce que je peux rajouter un mot? Zzzz-scratch scratch - amour du maillot - squieek - amour du pays. Claire Chazal: on a assez mal entendu votre message mais on imagine que vous avez l'amour du maillot et de votre pays. Merci Eric.» La rencontre Chili-Espagne, elle, a lieu, et Christian Jeanpierre, sûr de lui, prophétise le carton rouge chilien: «Ils ne finiront pas à onze à ce rythme-là.» Puis le goal chilien, tout en bleu ciel, qui se retrouve à quarante mètres de ses cages à faire une passe à l'ennemi. Le petit-fils de conquistador et matador Villa aka El Niño ne rate pas la cible.(liberation)

Ces erreurs d'arbitrage qui font la légende de la Coupe du monde
ans discussion possible, le but non accordé dimanche à Franck Lampard lors d'Angleterre- Allemagne  mérite sa place dans le panthéon des erreurs d'arbitrage qui marquent l'histoire des Coupes du monde. Retour en vidéo ' si la Fifa le veut bien ' sur ces plus belles toiles d'arbitres.     1966: Hurst, un but et une polémique éternelle   C'est le but (ou pas) qui a fait le plus couler d'encre. Finale de la Coupe du monde 1966, l'Anglais Geoff Hurst fracasse la barre des cages de la RFA. Le ballon rebondit sur ou derrière la ligne. Malgré les protestations des joueurs ouest-allemands, le juge de ligne soviétique valide le but et permet à l'Angleterre de remporte sa Coupe du monde. Quarante quatre ans après, bien malin est celui qui peut dire si Hust a bien marqué. (20minutes)

Victor Nouioua









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