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Art et Culture
17/08/2010 - 10:54

Sexy Dance The Battle : 5 bonnes raisons d'aller voir le film

Et si Sexy Dance 3 était la meilleure comédie musicale de l'année ? Et en 3D ? Sexy Dance The Battle, réalisé par John Chu , est le troisième volet de la série des Sexy Dance. Pour une série, le troisième épisode est souvent crucial car c'est à ce moment que l'on sent si les auteurs tirent à la ligne ou pas, que l'inspiration s'assèche et que les spectateurs désertent la licence.



Sexy Dance The Battle : 5 bonnes raisons d'aller voir le film
Sexy Dance The Battle : 5 bonnes raisons d'aller voir le film
Et si Sexy Dance 3 était la meilleure comédie musicale de l'année ? Et en 3D ? Sexy Dance The Battle, réalisé par John Chu , est le troisième volet de la série des Sexy Dance. Pour une série, le troisième épisode est souvent crucial car c'est à ce moment que l'on sent si les auteurs tirent à la ligne ou pas, que l'inspiration s'assèche et que les spectateurs désertent la licence. Tant pis pour les préjugés : Sexy Dance The Battle s'empare de la 3D comme pour relancer la mise et nous met au tapis avec ses chorégraphies atomiques et sa musique au napalm. Pas convaincus ? Pourtant c'est facile, c'est en cinq mouvements, it's just a jump to the left... Il faut se faire une raison : pour le meilleur et pour le pire, le relief est parti pour durer sur vos écrans. Mais alors que la 3D de qualité semblait être réservée aux très grosses productions tournées exprès (Avatar, Toy Story 3...), aux dépends des " conversions opportunistes de dernière minute " (Le Choc des titans), Sexy Dance 3 a été tourné exprès en relief avec du matos de qualité (les mêmes caméras qu'Avatar, tiens donc). Le résultat : une 3D impeccable qui sert une mise en scène ultra ludique. Et qui pourrait bien donner le la pour tous les divertissements populaires ultérieurs qui voudraient se mettre au relief. En tous cas, si vous hésitez entre voir Sexy Dance en 2D ou en relief, n'hésitez pas une seconde et foncez chausser les lunettes.(premiere)

Des milliers de passionnés pour le Mondial de tango à Buenos Aires
Des milliers de passionnés de tango, dont un nombre croissant d'étrangers, ont fait la queue lundi devant la mairie de Buenos Aires pour assister au Mondial de cette danse emblématique de la capitale argentine, a constaté un journaliste de l'AFP. La 8e édition du Festival Mondial de tango s'est ouverte vendredi jusqu'au 31 août, avec la participation du couple japonais vainqueur de la précédente édition, Kyoko et Hiroshi Yamao, 35 et 39 ans. "Nous aimons beaucoup la communication et la séduction du tango", expliquent-ils, illustrant la fascination du tango au-delà des frontières de l'Argentine. Les Yamao sont célèbres à Buenos Aires: ce sont les premiers non Argentins à avoir décroché la première place en tango de salon. Ils participent pour la cinquième fois au Mondial, aux côtés de 400 artistes argentins et étrangers concourant dans les catégories tango acrobatique ou tango de salon. Un autre couple pourrait battre un record. Ils dansent depuis 70 ans. "Nous dansons le tango depuis que nous avons 14 ans", avouent Pocho, 86 ans, et sa femme Nelly, 84 ans. Le Mondial de tango, c'est "la fête populaire par excellence", selon Gustavo Mozzi, directeur artistique du festival. Devant la mairie, une longue queue s'est formée lundi dès l'aube. Les passionnés viennent retirer des billets gratuits, dont 15.000 ont été mis à disposition par les autorités municipales.(lepoint)

Le Festival Sziget, lîle aux (grands) enfants de Budapest
Après une première visite « épique » quatre ans plus tôt, notre partenaire Sourdoreille fait son grand retour au Festival Sziget, sur l'« insensée » île hongroise d'Obuda, « théâtre de la plus grande foire festivalière d'Europe ». Voici les trois premières vidéos tournées par Sourdoreille, manifestement conquis par le « marathon » Sziget : « Un carrefour de nationalités, une orgie de jour comme de nuit dans un dédale de chemins boisés, et une pléiade d'artistes qui vont défiler sur une bonne douzaine de scènes. » Le live de Rona Hartner, égérie de Gatlif. La carrière de Rona Hartner a démarré dans le septième art, sous la coupe d'un certain Tony Gatlif. L'égérie du réalisateur tient notamment le rôle central dans « Gadjo Dilo », sorti en 1996. En marge de ses apparitions au cinéma (notamment aux côtés de Marjane Satrapi), notre Roumaine frisée monte sur scène pour donner vie à des chansons traditionnelles de toute beauté. Après une collaboration géniale avec DJ Click (l'album « Boum Bah Clash » en 2005), elle a débarqué au Sziget avec son légendaire sourire. Extrait live. La danse, belle invitée du Sziget. Pour la première fois, la danse s'invite au menu des vidéos Sourdoreille, et offre par la même occasion un autre angle de vue sur le Sziget. Pour les présentations : la compagnie franco-hongroise Pál Frenák venait, pour la troisième fois, se frotter à l'étonnant public du Festival. Une danse contemporaine, physique. Parce que Pál Frenák a une obsession : le corps. Et son nouveau spectacle « InTime » ne déroge pas à la règle. Harmonie et perfection des formes, séduction et rapport homme/femme forcément charnel. « Je t'aime, moi non plus. » Davantage rompus aux joutes musicales, les festivaliers se posent aux abords de la scène, discutent, clope au bec et bière à la main. On est ici loin des codes et convenances d'une salle de spectacle, et c'est tant mieux.(rue89)

Source: Yahoo Actualités

Victor Nouioua










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Mercredi 13 Mars 2024 - 17:14 Saro: Voyant marabout Saint-Etienne 69

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