"En Afghanistan, nous n'avons pas le droit de perdre", a déclaré M. Sarkozy, interrogé sur l'envoi annoncé de renforts français dans ce pays.
"Nous n'avons pas le droit de laisser revenir les talibans qui ont privé de scolarité six millions de petites filles parce qu'elles sont des petites filles", a-t-il insisté. "On n'a pas le droit de laisser revenir des gens qui dans des stades, avec des milliers de personnes, lapidaient une femme prétendument adultère", a poursuivi M. Sarkozy.
"Et la décision (...) d'envoyer des hommes supplémentaires pour que le Moyen-Age ne revienne pas en Afghanistan c'est une décision stratégique", a-t-il encore ajouté. "En Afghanistan nous sommes là pour faire triompher les valeurs des droits de l'homme. Nous ne sommes pas là contre les talibans. Nous sommes là pour les Afghans, contre les extrémismes, contre les terroristes", a-t-il encore insisté.
Cette décision "que j'ai mûrement réfléchie, c'est une décision difficile, et que l'on a expliquée aux Français". "Nos alliés doivent savoir que c'est un engagement, et il se joue là-bas une partie extrêmement importante", a ajouté le président.
"Ce qu'a dit le sénateur Obama sur l'avenir", notamment que "les Américains veulent mettre l'essentiel sur l'Afghanistan, c'est une bonne nouvelle", a-t-il encore déclaré. Auparavant, M. Obama avait également affirmé que "l'Afghanistan était une guerre que nous devons gagner". "Nous n'avons pas le choix", a-t-il estimé.
Il a souligné sa reconnaissance envers Paris pour l'envoi de troupes supplémentaires et salué "l'extraordinaire engagement" de la France.
"Je comprends les difficultés politiques que cela pose en France et je comprends les difficultés politique à travers l'Europe et c'est pourquoi que pense que la position du président est si courageuse", a-t-il dit.
SSource: Yahoo News
"Nous n'avons pas le droit de laisser revenir les talibans qui ont privé de scolarité six millions de petites filles parce qu'elles sont des petites filles", a-t-il insisté. "On n'a pas le droit de laisser revenir des gens qui dans des stades, avec des milliers de personnes, lapidaient une femme prétendument adultère", a poursuivi M. Sarkozy.
"Et la décision (...) d'envoyer des hommes supplémentaires pour que le Moyen-Age ne revienne pas en Afghanistan c'est une décision stratégique", a-t-il encore ajouté. "En Afghanistan nous sommes là pour faire triompher les valeurs des droits de l'homme. Nous ne sommes pas là contre les talibans. Nous sommes là pour les Afghans, contre les extrémismes, contre les terroristes", a-t-il encore insisté.
Cette décision "que j'ai mûrement réfléchie, c'est une décision difficile, et que l'on a expliquée aux Français". "Nos alliés doivent savoir que c'est un engagement, et il se joue là-bas une partie extrêmement importante", a ajouté le président.
"Ce qu'a dit le sénateur Obama sur l'avenir", notamment que "les Américains veulent mettre l'essentiel sur l'Afghanistan, c'est une bonne nouvelle", a-t-il encore déclaré. Auparavant, M. Obama avait également affirmé que "l'Afghanistan était une guerre que nous devons gagner". "Nous n'avons pas le choix", a-t-il estimé.
Il a souligné sa reconnaissance envers Paris pour l'envoi de troupes supplémentaires et salué "l'extraordinaire engagement" de la France.
"Je comprends les difficultés politiques que cela pose en France et je comprends les difficultés politique à travers l'Europe et c'est pourquoi que pense que la position du président est si courageuse", a-t-il dit.
SSource: Yahoo News
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